De Zerbi annonce un très gros changement à l’OM !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Profitant du manque de temps de jeu de Dimitri Payet à l'OM sous les ordres d’Igor Tudor, Valentin Rongier avait récupéré le brassard de capitaine dès 2022, mais sa grosse blessure et la nomination de Roberto De Zerbi rebat les cartes concernant le milieu de terrain, désormais loin dans la hiérarchie.

Devenu progressivement le capitaine de l’Olympique de Marseille sous les ordres d’Igor Tudor à partir de 2022 au détriment de Dimitri Payet, Valentin Rongier voit le bout du tunnel après une absence de neuf mois. Blessé au genou le 4 novembre dernier, le milieu phocéen a vu son retour être sans cesse repoussé et a donc dû patienter jusqu’au début de saison pour retrouver les pelouses, mais sans son brassard au bras.

Rongier loin derrière dans la hiérarchie des capitaines

Absent de longs mois, Valentin Rongier a perdu sa place dans l’entrejeu de l’Olympique de Marseille mais également son brassard puisque c’est Leonardo Balerdi qui est devenu le capitaine de Roberto De Zerbi. Un choix confirmé ce vendredi en conférence de presse par l’entraîneur phocéen, annonçant que le désormais ex-capitaine de l'OM se place désormais à la quatrième place de la hiérarchie. « Je l'ai toujours dit, le capitaine, c'est Balerdi, le vice-capitaine, c'est Hojbjerg, et après, nous avons Kondogbia et Rongier », a indiqué De Zerbi, qui souhaite malgré tout garder tout son groupe pleinement impliqué.

« Je veux beaucoup de capitaines »

« Mais le fait qu'ils ne portent pas le brassard — Rulli, Cornelius ou Harit — ne signifie pas qu'ils soient des joueurs d'une importance moindre. Au contraire, c'est vrai que ce brassard, c'est moi qui le décide, mais ce n'est pas le fait d'avoir le brassard qui fait qu'on a plus de personnalité ou plus de responsabilité, a poursuivi Roberto De Zerbi. Je l'ai dit dans une des premières conférences de presse : je veux beaucoup de capitaines et par là j'entends beaucoup de leaders, beaucoup de joueurs qui poussent. Et contre l'OL, de fait, nous avions 11 capitaines sur le terrain, plus les remplaçants, et même ceux qui ne sont pas rentrés en jeu ont été capitaines quand ils ont exulté après avoir célébré le but de Rowe. »

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