Aux Sables-d’Olonne, le Big Tour confirme son succès populaire !
La rédaction

Pour la 3e étape du Big Tour, Bpifrance a réuni les foules des Sables-d’Olonne. Un succès populaire, autant sur le terrain que sur le digital.

Pour constater le succès du Big Tour, il suffit de voir les sourires sur les centaines de visage qui viennent à la rencontre de l’industrie française et de la tournée du renouveau proposée par Bpifrance. Il suffit, également, de jeter un œil aux chiffres puisque cette tournée, volontairement digitalisée par la banque d’investissement, propose un accès en ligne à tous les internautes. Ce dimanche, nouveau carton d’audience avec 589 983 personnes connectées sur l’ensemble de la journée. L’engouement est total.

« En tant que président, on se doit de préparer l’avenir dès maintenant »

Directeur Exécutif Bpifrance, Patrice Bégay avait annoncé la couleur lors de la conférence de lancement du Big Tour : « Nous avons digitalisé la tournée pour que chaque français puisse y participer. C’est aussi ça, la simplicité et la proximité humaine. On a bien vu durant le confinement que les sociétés qui s’étaient déjà mises au digital s’en sont mieux sorties que les autres. Alors, grâce au digital – qui ne remplacera jamais l’humain – on peut aussi vivre des expériences uniques comme visiter les fonds marins depuis un sous-marin. C’est le cas, avec notre sous-marin roulant, l’une des grandes innovations de la tournée 2020 ! Les internautes peuvent vivre aussi cette expérience sur notre site www.bigtour.fr ». Et ils sont au rendez-vous, les chiffres en témoignent. Et pour soutenir le mouvement, Bpifrance a aussi pu compter sur son réseau de clubs sportifs partenaire. Aux Sables-d’Olonne, le Roche Vendée Basket Club du président Philippe Provost a répondu présent : « Dans cette période si particulière, on relativise. On se dit que la santé est primordiale et que le reste n’est pas important. Et pour aller de l’avant, il faut offrir un discours avec beaucoup d’envie et d’optimisme. Qu’est-ce que l’on peut faire d’autre, si ce n’est accepter la situation et ses contraintes ? Et en tant que président, on se doit de préparer l’avenir dès maintenant. C’est ce que j’ai, très tôt, quand j’ai compris que les conditions sanitaires devenaient « compliquées ». J’ai pris contact avec toutes les collectivités et tous nos partenaires. J’ai d’abord pris le temps d’écouter pour savoir comment nos partenaires allaient, comment ils vivaient cette période. Et je me suis ensuite assuré de leur soutien pour les temps à venir, s’ils souhaitaient poursuivre avec nous. Ça a été positif, même au-delà de ce que je pouvais espérer… On a la chance d’être dans une région qui bouge, qui vit bien et qui fonctionne. Et même si nous allons prendre un petit peu de retard par rapport à quelques envies fortes que nous avions de grandir, on se dit qu’une année à attendre, ce n’est pas grand-chose (sourire) »

Une recrue sur le point de débarquer !

De la patience, tous les acteurs du sport en ont besoin. Et notamment pour réunir l’ensemble des effectifs, avec des joueuses et joueurs parfois issus de l’étranger. C’est le cas du Roche Vendée Basket Club, qui compte deux Américaines dans ses rangs. Deux atouts clés qui sont aujourd’hui bloqués aux Etats-Unis, en raison des conditions sanitaires : « C’est compliqué. Elles sont dans des zones très touchées aux États-Unis, la Floride et la Californie. Nous faisons le maximum pour les faire venir mais on se heurte à des choses très complexes. Par anticipation de leur possible arrivée tardive, nous sommes en train de recruter une nouvelle joueuse… Ce sera officiel dans la semaine (sourire) ».

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