Une grande annonce tombe, le FC Nantes doit trancher
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Tout proche de la Ligue 2, le FC Nantes a finalement décroché son maintien lors de la dernière journée en battant Angers. Pierre Aristouy a réussi son intérim, la question de son avenir revient donc déjà sur la table. Le technicien français en a dit un peu plus sur son futur.

Le FC Nantes l’a fait ! Relégables depuis plus d’un mois, les Canaris, qui étaient en train de foncer vers la Ligue 2, ont finalement arraché leur maintien. La direction nantaise n’a pas voulu attendre la fin de saison pour tout changer, Antoine Kombouaré a été licencié et remplacé par Pierre Aristouy. Vainqueur du dernier match de la saison face à Angers, le FC Nantes a profité du revers d’Auxerre contre le RC Lens pour se maintenir.

Quel avenir pour Pierre Aristouy ?

Alors forcément, la question se pose concernant l’avenir de Pierre Aristouy. Considéré comme l’un des artisans de ce maintien obtenu in extremis, le technicien français s’est confié sur son futur au FC Nantes dans les colonnes du journal L’Équipe.

«Je ne serai jamais un problème pour le FCN»

« Je vais déjà rencontrer mes dirigeants. Je viens de passer quatre semaines épuisantes mais aussi très grisantes et valorisantes. J'ai ressenti la confiance de Franck (Kita) et du président, et ça, c'est très important. Après, il y a cette problématique des diplômes (il ne possède pas le BEPF). Pour durer à un tel poste, il faut avoir du monde autour de soi, la capacité de déléguer. Tout ça, il faut qu'on en parle », a déclaré Pierre Aristouy. Revenir à la formation ne le dérangerait pas non plus : « Je l'ai déjà dit, je ne serai jamais un problème pour le FCN. J'ai adoré les six ans passés à la formation ici, j'ai adoré les quatre semaines épuisantes que je viens de vivre avec les pros, et maintenant il faut discuter de tout ça. Je ne suis pas non plus un béni-oui-oui ».

Articles liés