Surprise, le FC Nantes interpelle… Antoine Kombouaré !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Quelques semaines après le départ d’Antoine Kombouaré, le FC Nantes a finalement obtenu son maintien en Ligue 1 dans les derniers instants de la saison. Un énorme soulagement pour Waldemar Kita qui félicite Pierre Aristouy, mais qui remercie également le Kanak après l’avoir licencié il y a quelques semaines.

La saison du FC Nantes a finalement été sauvée lors de la dernière journée. En dominant Angers (1-0), pendant qu'Auxerre perdait à domicile contre le RC Lens (1-3), les Canaris ont assuré leur maintien. Pour cela, c'est Pierre Aristouy qui avait pris la succession d'Antoine Kombouaré pour les quatre dernières journées. Et Waldemar Kita n'a pas hésité à remercier ses deux coachs.

«Je remercie aussi Pierre (Aristouy) qui a été passionnel avec son staff»

« En tous cas, aujourd’hui, je remercie aussi Pierre (Aristouy) qui a été passionnel avec son staff. Il a été très tactique, très stratégique. Il a été humain avec les joueurs. Il a fait des bons choix. C’est vrai qu’on se pose des questions sur pas mal de choses. J’aimerai également remercier le public. Il a été fantastique toute la saison, dans la douleur y compris », a lancé le président du FC Nantes pour La Chaîne L’EQUIPE avant de saluer Antoine Kombouaré.

«J’aimerais aussi remercier Antoine»

« Il y a eu des bonnes et des mauvaises choses, c’est comme ça c’est la vie, mais j’aimerais aussi remercier Antoine. Il était devant la télé, il souhaitait que l’on reste en Ligue 1. C’est important. Il faut reconnaître le travail. C’est également important ce qu’on a fait aujourd’hui sinon on recommence tout à zéro. Ce n’est pas évident surtout quand vous êtes tout seul. Vous voulez faire un nouveau stade, on vous interdit. Vous voulez faire un nouveau centre de formation, on vous interdit. C’est difficile de jongler avec tout ça. Je ne dribble pas forcement très bien. Je n’arrive pas à dribbler le ballon à certaines personnes. Donc je reste sur place et on me pique le ballon et puis voilà », ajoute Waldemar Kita.

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