Après sa montée en puissance lors de la seconde partie de la saison dernière, Bradley Barcola s'est imposé comme un titulaire indiscutable depuis le début de l'exercice en cours, s'imposant même comme l'un des meilleurs buteurs de Ligue 1. Cependant, alors qu'il a connu une fin d'année 2024 délicate, l'international français a vu débarquer Khvicha Kvaratskhelia cet hiver. Un transfert qui ne l'a pas vraiment enchanté.
Cet hiver, le PSG n'a pas hésité à revenir à la charge pour boucler le transfert de Khvicha Kvaratskhelia. Priorité de Luis Campos et Luis Enrique l'été dernier pour remplacer Kylian Mbappé, l'international géorgien avait été retenu par Naples, qui exigeait plus de 120M€ pour son transfert. Par conséquent, lorsque la porte s'est ouverte cet hiver, le PSG s'y est engouffré pour boucler sa signature, moyennant une indemnité de transfert estimée à 70M€.
Luis Enrique bouge les lignes au PSG ! 🚀 Son rôle clé dans le mercato pourrait bien changer la donne pour le club.
— Le10Sport_PSG (@le10sport_psg) January 29, 2025
➡️ https://t.co/LMizFsi1YA pic.twitter.com/vghOEGEGMA
Kvaratskhelia, le transfert qui inquiète Barcola
Un très joli coup sur le papier, mais qui n'a pas fait que des heureux au sein du vestiaire. A commencer Bradley Barcola. Selon les informations de L'EQUIPE, qui cite des témoins du Campus de Poissy, l'ancien Lyonnais avait perdu son grand sourire lorsque le transfert de Khvicha Kvaratskhelia devenait imminent. Il faut dire que les deux joueurs ont le même poste de prédilection, à savoir ailier gauche. Pas conséquent, Barcola se voit confronter à une grosse concurrence. Et sa première réaction n'a pas été très positive.
Luis Enrique a un plan
Cependant, grâce à Luis Enrique, Bradley Barcola devrait conserver un temps de jeu important. En effet, en conférence de presse, l'entraîneur du PSG confirmait mardi sa volonté de s'appuyer sur la polyvalence de ses attaquants : « Nous avons maintenant sept attaquants pour trois positions. Je veux voir comment ils attaquent, comment ils défendent, comment ils aident l'équipe. C'est la meilleure arme que nous puissions avoir : la polyvalence. Que les joueurs aient l'ambition de s'améliorer. Pour les défis que nous avons, nous avons besoin de tous les joueurs. Ce truc du numéro dix, du numéro neuf, du numéro onze, nous ne le voyons pas ainsi. »