Mercato : Un joueur doit signer, l’ASSE est sous pression
La rédaction

En fin de contrat en juin prochain, Jean-Philippe Krasso aurait repoussé une offre de prolongation à l’ASSE. Une situation qui inquiète Dénis Balbir qui craint de voir le meilleur buteur de Ligue 2 quittait le Forez à l’issue de la saison, ce qui représenterait un gros coup dur pour les Verts.

L'ASSE peut souffler. Après une première partie de saison catastrophique, les Verts ont quasiment assuré leur maintien en Ligue 2 grâce à une série de neuf matches sans défaite. Avec huit points d'avance sur le premier relégable, le club du Forez peut se tourner vers l'avenir, et cela passe par la prolongation de Jean-Philippe Krasso. Le meilleur buteur de Ligue 2, dont le contrat s'achève en juin prochain, doit absolument rester comme l'explique Denis Balbir.

«Il est désormais important de se pencher sur le cas Krasso»

« Maintenant que le maintien est acquis, la fin de saison ne sert plus à grand-chose sinon à garder ce petit challenge de l'invincibilité et à poser les bases de travail en vue de la saison prochaine. J'espère sincèrement que les bouleversements ne seront pas trop nombreux pour ne pas devoir repartir sur une nouvelle reconstruction. Pour moi, il est désormais important de se pencher sur le cas Krasso et trouver un accord pour le conserver. En coulisses, il y a plusieurs dossiers à régler d'ici à début mai. Maintenant on va pouvoir travailler de manière plus précise et qu'il faudra anticiper certains cas particuliers », écrit le journaliste dans sa chronique pour BUT Football Club, avant de poursuivre.

«C'est maintenant qu'il va falloir enchaîner les signatures»

« Aujourd'hui, au niveau de la direction, il y a de vraies bonnes questions à se poser. Ce n'est pas au mois de juin ou dans les dernières semaines de la saison qu'il faudra se réveiller. Il y aura des sollicitations pour Niels Nkounkou comme pour Jean-Philippe Krasso ou d'autres (Benjamin Bouchouari). Pour les prêtés ou les fins de contrat, c'est maintenant qu'il faut être convaincant. C'est maintenant qu'il va falloir enchaîner les signatures », ajoute Denis Balbir.

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