Mercato - OM : Les vérités de Dimitri Payet sur son retour à l’OM !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Parti à West Ham pendant un an et demi, Dimitri Payet a finalement fait machine arrière pour revenir à l’OM. Un choix sur lequel s’est exprimé le principal intéressé. 

Arrivé à l’OM en 2013 en provenance du LOSC, Dimitri Payet avait toutefois quitté la Canebière en 2015. Le Réunionnais avait alors choisi de tenter l’aventure en Premier League en rejoignant West Ham. Alors que l’actuel joueur de Jorge Sampaoli avait réussi à briller de l’autre côté de la Manche, cette aventure n’aura finalement duré qu’un an et demi. En effet, à l’hiver 2017, Payet a posé à nouveau ses valises à l’OM

« Je savais que ça ne pouvait pas tenir éternellement »

A l’occasion d’un entretien accordé à Brut, Dimitri Payet s’est d’ailleurs confié sur son retour à l’OM en provenance de West Ham. Le Marseillais a alors expliqué à ce sujet : « Ma priorité a toujours été l’équilibre familial ? C’est primordial, parce que j’ai eu des enfants très tôt, et c’est sûr que, quand ils grandissent, ne pas arrêter de bouger c’est compliqué. Et je trouve que ce premier passage ici, on avait trouvé une stabilité qui était bonne pour les enfants, pour moi, pour ma femme. Et à West Ham, sportivement, c’était top pour moi, mais c’était plus compliqué pour eux, donc forcément il y avait un décalage entre moi sur le terrain et moi à la maison et je savais que ça ne pouvait pas tenir éternellement. (…) Je pense que j’ai fait, on va dire, quasiment tous les plus grands clubs en France avec Nantes, Lille, Saint-Étienne. Mais quand on a connu ici, c’est compliqué d’aller ailleurs. Je l’ai fait, mais il y a quelque chose ici qui m’attire, c’est d’être sans cesse sous pression, sans cesse attendu, et on ne peut pas se reposer sur ce qu’on a déjà fait ou sur le match d’avant. On peut faire six mois au top niveau, rater deux matchs et on vous tombe dessus, donc ça pousse à travailler, à travailler dur. Et surtout, c’est aussi le fait de jouer dans ce stade-là ».

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