Mercato - ASSE : Caïazzo et Romeyer ont pris une décision tonitruante pour la vente de l'ASSE !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Officiellement, l'ASSE est toujours en vente. Mais en coulisses, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo auraient changé leur fusil d'épaule et rechercheraient, plutôt, un actionnaire minoritaire.

Il y a un an, jour pour jour, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo publiaient une lettre dans les colonnes du Progrès. Présents dans le Forez depuis 2004, les deux hommes officialisaient leur envie de passer la main et de vendre l'ASSE. Afin de sélectionner le meilleur projet, le club stéphanois a mandaté le cabinet KPMG. Ces derniers mois, plusieurs investisseurs se sont présentés et ont affiché leur projet. Mais aucun ne semble pas avoir convaincu Romeyer et Caïazzo. Alors que la relation entre les deux hommes seraient glaciales, ce dossier n'est pas près de se terminer. D'autant que la situation sportive incertaine de l'ASSE rend l'horizon totalement flou.

L'accord CVC a tout changé 

Comme l'indique But Football Club, la donne a changé ces dernières semaines, rendant l'issue de ce dossier encore plus incertain. La LFP a conclu un accord avec CVC Partners, qui a investi près d'1,5 milliards d'euros. Grâce à cela, l'ASSE va toucher un total de 33M€ dans les deux prochaines années. Grâce à cette rentrée d'argent, les Verts se donnent un bol d'air sur le plan financier. Roland Romeyer et Bernard Caïazzo ne sont plus obligés d'éponger les dettes et ne semblent plus aussi pressés de trouver un nouvel actionnaire. Selon le média, le club stéphanois est, officiellement, en vente, mais les deux responsables chercheraient, aujourd'hui, un actionnaire minoritaire. Un nouveau rebondissement, dans ce feuilleton qui s'éternise.

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