L'OM l'appelle, le transfert est impossible à refuser !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Arrivé en janvier 2024 en provenance du FC Nantes contre 12M€, cela fait maintenant un an que Quentin Merlin est un joueur de l’OM. Un transfert qui a provoqué beaucoup de changements dans sa vie personnelle et également en termes d’exigence et d’attente, mais l’international espoirs français ne pouvait pas refuser.

En janvier 2024, Quentin Merlin faisait le choix de quitter son club de toujours, le FC Nantes, pour rejoindre l’OM, avec qui il a signé un contrat de quatre ans et demi. Son transfert est en plus intervenu dans une période très compliquée pour Marseille, mais le latéral gauche âgé de 22 ans ne pouvait pas refuser cette opportunité.

« Un appel de l'OM, c'est difficile de le refuser »

« Ici, c'est très spécial, magique. Un appel de l'OM, c'est difficile de le refuser et je n'ai pas eu peur de venir, j'avais juste hâte de jouer », a confié Quentin Merlin, dans un entretien accordé à L'Équipe. « Partir était important, j'avais besoin de sortir de ma zone de confort. À Nantes, j'avais ma famille à côté. Dès que j'avais un souci, "papa, maman..." Ici, je suis tout seul avec ma copine. Tu fais des choses que tu te pensais incapable de faire. À Nantes, j'étais le chouchou de la Beaujoire, les attentes du club étaient moins élevées. Quand tu jouais contre Marseille, Paris, Monaco, tu espérais un nul. Un point, et on faisait un cri de guerre. Ici, tu fais un nul, il n'y a pas de cri de guerre, tu baisses la tête… »

« Les deux m'ont permis d'apprivoiser le milieu du foot »

« À l'opposé ! Mais les deux m'ont permis d'apprivoiser le milieu du foot », a ajouté Quentin Merlin, à propos des différences entre l’OM et le FC Nantes. « À Nantes, on est bien accompagnés pour ne pas perdre la tête. J'ai passé un an et demi avec Antoine Kombouaré, qui m'interdisait de parler à la presse et me disait : "Tu ne seras pas pro tant que tu n'auras pas cent matches." Je ne les ai pas encore en L1 mais je me sens pro, même si je n'ai que quatre ans de carrière et que c'est peu comparé à Pierre-Emile, Neal ou Adri (Rabiot). Après, il me reste des saisons devant moi ! ».

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