Le prochain transfert de l’OM va coûter «très cher» !
Arthur Montagne -
Journaliste
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Avec le départ d’Elye Wahi, qui s’est engagé avec l’Eintracht Francfort pour environ 26M€, hors bonus, l’OM sera en quête d’un nouvel avant-centre. Plusieurs pistes sont étudiées, mais Bafétimbi Gomis craint que cela «coûte très cher» au club marseillais de trouver un attaquant de haut niveau comme le souhaite Roberto De Zerbi.

Le mercato d'hiver fermera ses portes le 3 février prochain, et d'ici-là, l'OM espère trouver un nouvel attaquant afin de combler le départ d'Elye Wahi qui a rejoint l'Eintracht Francfort pour environ 26M€, hors bonus. Roberto De Zerbi l'a d'ailleurs annoncé récemment en conférence de presse, « un attaquant fort arrivera » pour remplacer Elye Wahi. Plusieurs pistes ont circulé ces derniers jours d'Amine Gouiri à Santiago Gimenez en passant Alexander Sorloth ou encore Giovanni Simeone. Mais dans tous les cas, cela devrait coûter à l'OM comme le craint Bafétimbi Gomis.

«Il manque cet attaquant d’expérience»

« Oui. Il manque cet attaquant d’expérience, aguerri, capable de marquer 20 à 25 buts par saison. Aujourd’hui, cet attaquant-là coûte très cher, l’OM fait un peu avec les moyens du bord. J’ai vu que (Elye) Wahi est parti. De Zerbi a promis un renfort de taille. On espère le voir ! », s’enflamme l’ancien buteur de l’OM dans les colonnes de La Provence, avant de poursuivre.

«Cet attaquant-là coûte très cher»

« Ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier attaquant à rencontrer des difficultés. L’OM est un club unique, à part, il y a une pression particulière. Wahi est un jeune joueur qui a fait le choix de partir pour se relancer. Je le comprends, je lui souhaite le meilleur. Être attaquant de l’OM n’est pas donné à tout le monde. Il faut du caractère mais surtout de l’abnégation et de la persévérance. Regardez mes débuts, ils n’ont pas été faciles, tout comme ceux de Jean-Pierre Papin, André-Pierre Gignac, Mamadou Niang, Pierre-Emerick Aubameyang tout récemment. Tous ceux qui ont réussi ont fait preuve de tout cela », ajoute Bafétimbi Gomis.

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