La catastrophe est évitée au FC Nantes, il touche le jackpot
Thibault Morlain

Depuis sa nomination sur le banc du FC Nantes, Antoine Kombouaré réalise du très bon travail. Il vient d’ailleurs de qualifier à nouveau les Canaris pour la finale de la Coupe de France. Mais voilà que tout aurait pu se passer différemment pour le Kanak. En effet, l’été dernier, Kombouaré était proche d’un départ, ça s’est finalement réglé… avec une augmentation de salaire. 

Suite à la victoire du FC Nantes en Coupe de France la saison dernière, des questions se posaient sur l’avenir d’Antoine Kombouaré. Malgré un contrat jusqu’en juin 2023 avec les Canaris, il était question d’un possible départ du Kanak. Kombouaré a fini par trancher et a décidé de rester. « J'ai décidé de poursuivre et d'aller au bout de mon contrat. Il y a un challenge fantastique l'année prochaine. Une année à quatre descentes. j'ai envie de vivre ça. Ça va être chaud, ça va être dur, ça va être compliqué. Et puis il y aura la Ligue Europa », avait-il alors lâché. 

Kombouaré a hésité

Du côté du FC Nantes, la catastrophe était donc proche avec Antoine Kombouaré. Un départ était vraiment d’actualité pour l’entraîneur des Canaris. Selon les informations de L’Equipe, l’ancien du PSG avait sérieusement réfléchi à s’en aller, hésitant à continuer au FC Nantes notamment à cause de problèmes concernant le sportif et la trop grosse importance donnée à certains agents intermédiaires comme Mogi Bayat. 

Un salaire revu à la hausse ? 

Le FC Nantes a fini par être soulagé avec l’annonce d’Antoine Kombouaré. Il a décidé de rester sur les bords de la Loire, tout en touchant d’ailleurs le jackpot. En effet, le quotidien sportif dévoile que l’entraîneur nantais a été revalorisé. De plus, il a également eu gain de cause en voyant la direction du FC Nantes prendre quelque peu ses distances avec Mogi Bayat. Désormais, la question est de savoir si Antoine Kombouaré va continuer du côté de la Beajouire. Il est en fin de contrat et sa prolongation est l’un des gros sujets du côté de Nantes. A suivre… 

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