Galtier au FC Nantes, le vestiaire prend position
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après seulement deux journées de championnat disputées, l’inquiétude grandit déjà au FC Nantes. A tel point que l’avenir de Pierre Aristouy serait déjà menacé. En cas de départ, la direction nantaise penserait notamment à Christophe Galtier. Après la défaite sur la pelouse du LOSC dimanche, plusieurs joueurs ont apporté leur soutien à leur entraîneur.

Battu à domicile par Toulouse lors de la première journée (1-2), le FC Nantes a enchaîné avec une deuxième défaite consécutive face au LOSC dimanche (2-0). La saison vient à peine de reprendre, mais la position de Pierre Aristouy semble déjà menacée. D’après les informations de L’Équipe, les Canaris penseraient à changer d’entraîneur et auraient un nom en tête : Christophe GaltierFrédéric Antonetti serait lui aussi apprécié par la direction nantaise. 

« On est qu’à la deuxième journée de championnat »

Au micro de Prime Vidéo après la rencontre, Marcus Coco a assuré que les joueurs sont « à fond derrière » Pierre Aristouy. Pedro Chirivella quant à lui a du mal à comprendre la pression mise sur son entraîneur : « Je ne la comprends pas trop. On est qu’à la deuxième journée de championnat. Il y a des choses à améliorer, mais c’est normal à cette période, et il y a aussi des choses positives. Il ne manque pas grand-chose pour faire basculer les matches », a-t-il déclaré, dans des propos relayés par Ouest-France.

« C’est nous les responsables des deux défaites »

« C’est nous qui sommes sur le terrain et faisons les erreurs. C’est nous les responsables des deux défaites. On ne va pas lâcher », a pour sa part déclaré Ronaël Pierre-Gabriel. Même son de cloche du côté de Rémy Deschamps : « On a fait toute la prépa avec le coach, il y a des idées en place et on aime travailler dans ce mouvement-là. On respecte et on veut le faire respecter sur le terrain, même si aujourd’hui on n’est pas récompensé. »

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