Départ de Mbappé : Sarkozy se fait détruire !
Arnaud De Kanel

L'ancien chef de l'État, Nicolas Sarkozy, figure incontournable de la scène politique, n'a jamais caché son attachement au PSG et ses liens étroits avec Nasser Al-Khelaïfi ainsi qu'avec les dirigeants qatariens du club. Passionné de football et fervent supporter du PSG, Sarkozy n’a pas manqué de partager récemment son désarroi face au départ de Kylian Mbappé vers le Real Madrid, une décision qui, selon lui, aurait pu être évitée. Une déclaration qui n’a pas tardé à faire réagir le monde du football, notamment Jean-Michel Larqué, visiblement peu enchanté par cette sortie médiatique.

Invité à commenter le départ de Kylian Mbappé dans les colonnes du Parisien, Nicolas Sarkozy n'a pas caché sa déception. « Je peux comprendre qu’il ait eu envie de partir, je peux comprendre son rêve, mais je comprends plus difficilement la manière dont il l’a mis en œuvre. Mais c’est son choix », a alors confié l'ancien président de la République. Une sortie qui n'a pas été du goût de Jean-Michel Larqué.

«J’en ai marre»

« Les présidents en exercice ou les ex-présidents s’occupent beaucoup du football à un moment ou un autre. Je me demande si c’est pour le football, si c’est pour leur passion ou leur intérêt personnel. Je crois quand même que Sarkozy est très souvent invité par le Qatar à assister aux matchs. C’est meilleur quand c’est gratuit. Mais j’en ai marre. Et puis j’aime bien à la limite recevoir des conseils ou des reproches de quelqu’un qui est irréprochable », a lâché le consultant sur RMC. Larqué n'est pas tendre avec Nicolas Sarkozy.

«Foutez nous la paix»

« Je ne suis pas sûr quand même qu’aujourd’hui Nicolas Sarkozy, qui a passé de longues heures dans des commissariats soit à même de juger la façon dont un joueur est parti de son club favori. Ce n’est pas bien. (…) A un moment donné, je pense que c’est bien de faire preuve de modestie, un peu d’humilité et de laisser les gens gérer. Maintenant, dans notre société, on t’explique tout ce qui faut faire. J’en peux plus. Foutez nous la paix », a ajouté Jean-Michel Larqué.

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