Au terme d’un match accroché, le PSG a arraché le nul contre le Stade Rennais au Parc des Princes (1-1). Le tout grâce à un penalty obtenu et transformé par Gonçalo Ramos dans les arrêts de jeu. Un penalty qui ne manque pas de faire polémique ces dernières heures.
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— le10sport (@le10sport) February 26, 2024
«Il n’y a ni faute de Seidu, ni faute de Mandanda, point»
« Il n’y a ni faute de Seidu, ni faute de Mandanda, point. Le gardien essaie, certes, d’avoir le ballon mais derrière c’est l’attaquant qui simule un penalty et qui l’obtient, à l’ancienne, grâce à un outil moderne qui s’appelle le VAR. Il n’y a pas faute et l’arbitre qui est à dix mètres de l’action prend la bonne décision », estime le consultant de RMC au micro de l’After Foot, avant d’en rajouter une couche.
«Tu n’appelles jamais un arbitre pour cette action-là»
« Oui, il y a un contact mais il est provoqué et amplifié par Gonçalo Ramos uniquement. Corner s’il veut, on joue. Mais là, non, on l’appelle et on lui dit: ‘‘Erreur manifeste, il faut que t’ailles voir, il y a un gros problème’’. Celui qui l’appelle n’a jamais été attaquant, n’a jamais été chercher un penalty sinon, tu n’appelles jamais un arbitre pour cette action-là, c’est impossible », ajoute Kevin Diaz.