Il signe à l’OM et réalise son rêve !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Ce dimanche, en clôture de la 16e journée de Ligue 1, Le Havre se déplace sur la pelouse de l’Olympique de Marseille. L’occasion pour André Ayew de retrouver le Vélodrome, là où il a évolué entre 2007 et 2015. Interrogé par Téléfoot avant cette rencontre particulière, l’attaquant ghanéen est revenu sur ce passage.

Pour son premier match de l’année 2025, l’Olympique de Marseille accueille ce dimanche soir (20h45) Le Havre, une rencontre forcément particulière pour André Ayew, qui a évolué avec l’équipe première phocéenne entre 2007 et 2015. Parti ensuite à l’étranger, du côté de Swansea, West Ham ou encore Fenerbahçe, le Ghanéen a retrouvé la Ligue 1 l’année dernière en rejoignant le HAC. A l’occasion de son retour au Vélodrome, André Ayew est revenu sur son passage à l’OM au micro de Téléfoot.

« Moi mon rêve c’était l’OM »

« Mon départ de l’OM ? C’est un moment très dur mais aussi un moment avec énormément de fierté. Il y a des joueurs qui se lèvent le matin, ils ont des rêves c’est Manchester, le Real, etc... Moi mon rêve c’était l’OM », explique André Ayew.

« J’ai réussi à faire mon prénom dans ce mythique club »

Il faut dire que l’attaquant évoluant aujourd’hui au Havre entretient un rapport particulier avec le club phocéen, en étant le fils de la légende Abedi Pelé. « Être son fils à l’OM, faut y aller. J’ai réussi à faire mon prénom dans ce mythique club. Et y avoir laissé ma trace, il n’y a rien de plus formidable pour moi », confie André Ayew. A sa signature en Normandie, l’attaquant avait dressé un parallèle entre son club formateur et sa nouvelle équipe : « En signant ici, j'ai eu le sentiment d'arriver dans un petit Marseille. Il y a la mer, un stade presque tout le temps à guichets fermés et des supporters qui poussent. »

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