Parmi les 12 nouveaux joueurs arrivés à l’OM cet été, on retrouve notamment Geronimo Rulli. Evoluant précédemment du côté de l’Ajax Amsterdam, le gardien argentin a posé ses valises à Marseille, où il est le nouveau numéro 1. Revenant sur les coulisses de son transfert, Rulli a notamment fait une confidence sur les paroles de sa femme.
Cet été, l’OM a notamment décidé de repartir à 0 au poste de gardien. Ne faisant plus l’unanimité, Pau Lopez a été invité à partir. L’Espagnol a été prêté à Gérone et en parallèle, ce sont Geronimo Rulli et Jeffrey de Lange qui ont été recrutés par le club phocéen. Passé par Montpellier, l’Argentin retrouve ainsi la Ligue 1, lui qui a été acheté pour près de 3M€ en provenance de l’Ajax Amsterdam.
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— le10sport (@le10sport) September 21, 2024
« Elle m'a dit que si c'était le destin, cela se ferait »
Ce samedi, pour L’Equipe, Geronimo Rulli s’est confié sur les dessous de son transfert à l’OM. L’Argentin a alors révélé : « Le premier contact avec De Zerbi ? J'étais avec ma femme à Miami, nous avions un jour de libre entre la Copa America et les JO, nous étions avec mon fils à l'hôtel. J'ai raccroché, je lui ai dit : "C'était Roberto De Zerbi, s'il y a un entraîneur avec qui j'ai envie de travailler c'est lui." Elle m'a dit que si c'était le destin, cela se ferait ».
« Cela a été une décision très facile à prendre »
« Je suis allé à Paris, nous avons été éliminés un vendredi, le samedi j'étais à Amsterdam car je devais me présenter à l'entraînement. Après la séance, Roberto (De Zerbi) m'a rappelé. Il m'a dit : maintenant que tu as été éliminé, tu dois venir, je t’attends. (…) Cela a été une décision très facile à prendre, parce que je gardais un bon souvenir de Montpellier, où j'ai joué six ou sept mois. Nous, les Argentins, nous vivons pour le football. Quand il s'agit de notre pays, de notre sélection, nous utilisons toutes les méthodes pour gagner, de quelque manière que ce soit. Ici à Marseille, les gens aiment leur club, ils comprennent notre attachement au maillot argentin. Marseille, comme Naples, vit le foot différemment », a poursuivi Geronimo Rulli.