Toujours très critique à l’égard de Nasser Al-Khelaïfi, Daniel Riolo a décidé de prendre sa place ! Le temps d’une interview, le journaliste de RMC se prend pour le président du PSG et dévoile le projet qu’il mettrait en place afin de relancer le club parisien.
Depuis que le PSG a été racheté par le Qatar en 2011, Daniel Riolo est souvent très critique à l'égard d'un homme à savoir Nasser Al-Khelaïfi, le président du club de la capitale. Et plus le temps passe, plus le journaliste de RMC est acerbe à l'égard du dirigeant qatari. Par conséquent, il s'est mis à sa place en expliquant son projet si jamais il était président du PSG.
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— Le10Sport_PSG (@le10sport_psg) December 30, 2024
Riolo se prend pour Al-Kheklaïfi
« Le premier aspect, c’est le rôle du président à l’intérieur du foot français. Je considère que je ne suis pas tout seul dans mon championnat et que mon but n’est pas de l’écraser, mais de faire en sorte qu’il soit concurrentiel pour le valoriser. Il faut une entente entre les acteurs du championnat pour créer une compétitivité forte, comme en Espagne ou en Angleterre, où on se fait la guerre sur le terrain mais où il y a une volonté de faire grandir la ligue. Ce n’est pas ce que fait le PSG. Il faudrait renouer le lien avec tout le monde. Les autres ne sont pas des laquais et moi le grand patron auquel vous devez tous baiser la main. J’œuvrerais pour le bien collectif du football français », confie-t-il dans le podcast Sous La Surface de Johan Djourou, avant de poursuivre.
«J’œuvrerais pour le bien collectif du football français»
« Pour la gestion de mon club, j’essayerais de définir une politique globale. […] J’opterais pour une ligne. Pas un coup des stars mondiales, puis l’inverse après. Et s’il y a des stars, je n’accepte pas tout. On envoie pas de l’oseille dans tous les sens en faisant en sorte qu’ils ne veuillent pas partir. C’est l’un des gros soucis du club sur les dernières années. Moi, je ne retiendrais personne. Tu veux partir, on trouve un club et on discute. Et quand je fais venir un joueur, on ne le surpaye pas pour de mauvaises raisons. Ce serait une bonne base pour la politique sportive sur le long terme », ajoute Daniel Riolo.