Avec le départ de Kylian Mbappé, un an après ceux de Neymar et Lionel Messi, le Paris Saint-Germain a décidé d’entamer un tout nouveau projet. Terminé les stars, désormais la priorité est à la construction d’un collectif sous la houlette de Luis Enrique, avec des jeunes talents à faire grandir. Et pour le moment, ça marche plutôt pas mal…
La victoire face à Liverpool en 8e de finale de Ligue des Champions, est un véritable tournant dans la saison du PSG. Elle vient en effet confirmer le projet installé il y a un an et demi avec la signature de Luis Enrique, qui est notamment passé par le départ de Kylian Mbappé il y a seulement quelques mois. Et ça ne fait que commencer, parce qu’en cas d’épopée européenne ou même de titre, les retombées pourraient être énormes.
Deschamps - PSG : Le coup de fil du Qatar !
— Le10Sport_PSG (@le10sport_psg) March 14, 2025
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« Je trouve Luis Campos a été très critiqué, mais on pourrait également le féliciter »
Au micro de RMC Sport, Daniel Riolo a reconnu que ce nouveau PSG est plutôt séduisant. « La politique sportive de mettre des gens qui n’avaient pas déjà tout gagner, mais des gens qui ont faim qui veulent construire une aventure et d’arrêter de vouloir recruter n’importe comment et construire des équipes qui ont ni queue ni tête, c’est quelque chose que j’avais toujours réclamé. C’est quelque chose de très positif et d’ailleurs, je le redis, je trouve Luis Campos a été très critiqué, on pourrait également le féliciter » a expliqué l’une des voix de l’After Foot.
« Le paroxysme de la connerie a été l’arrivée de Messi »
« Tout le monde sait à quel point, et là dessus je ne vais jamais en démordre, Nasser Al-Khelaïfi va couler le football français tôt ou tard. Néanmoins il a enfin eu la tête sur les épaules pour se dire on arrête de faire n’importe quoi avec le PSG, on essaye d’avoir un recrutement sensé où on ne dépense pas n’importe comment » a poursuivi Riolo, qui ne semble pas du tout avoir aimé le passage de Lionel Messi au PSG. « Le paroxysme de la connerie a été l’arrivée de Messi. C’était le truc où en Europe et partout en France, on s’est dit stop ce n’est plus possible ».