Vivement annoncé au PSG dernièrement, Zinedine ZIdane vise lui plutôt une arrivée à la tête de l’équipe de France. Actuellement, c’est Didier Deschamps qui dirige les Bleus. Zizou pourrait-il alors remplacer l’actuel sélectionneur ? Deschamps a tenu à prévenir Zidane : il n’a pas l’intention de partir comme ça.
Actuellement à la tête de l’équipe de France, Didier Deschamps prépare la Coupe du Monde. Et après ? Sous contrat jusqu’à la fin de l’année 2022, il ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait. Prolongera ? Ne prolongera pas ? L’identité du futur sélectionneur des Bleus fait énormément parler et pour cause, il y a Zinedine Zidane qui s'est positionné pour récupérer ce poste.
« On verra bien après le Mondial »
Deschamps ou Zidane ? Cela fait énormément parler. Et à l’occasion d’un entretien accordé au Parisien, Didier Deschamps a fait le point sur son avenir. « Est-ce que je pourrais me projeter sur l’Euro 2024 ? Sincèrement, je ne me pose pas la question. Ce n’est pas l’actualité. On verra bien après le Mondial. Je n’ai jamais préparé une compétition en extrapolant sur son issue. Je suis tranquille. Serein. Je ne suis ni usé ni fatigué. Je suis un privilégié d’être sélectionneur des Bleus. Cette fonction représente tout ce que j’ai toujours recherché. Le top niveau. Je suis très content d’y être. Mon corps et ma tête ont besoin de ça », a lâché le sélectionneur de l’équipe de France.
Equipe de France : Deschamps clarifie son avenir... et prévient Zidane https://t.co/eZNWG1badv pic.twitter.com/5DonWb8mxD
— le10sport (@le10sport) August 7, 2022
« Aujourd’hui, la place n’est pas libre »
Relancé ensuite sur Zinedine Zidane,Deschamps a confié : « J’ai toujours placé l’équipe de France au-dessus de moi, au-dessus de tout. Aujourd’hui, la place n’est pas libre puisque je l’occupe avec mon staff. Après, chacun a la liberté de dire ce qu’il veut et comme il le veut. Sur moi, ça n’a aucun impact. L’intérêt, aujourd’hui, pour les joueurs et l’ensemble de la sélection, c’est d’être performant à la Coupe du monde. Tout ce qui peut aller à l’encontre de cet objectif commun n’est pas forcément une bonne chose ».