L’OM lui passe un coup de fil, il frôle la catastrophe
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Premier international panaméen de l'histoire à porter le maillot de l'OM, Michael Murillo a failli ne jamais débarquer en Ligue 1. Quelques jours avant sa signature avec le club marseillais se blessait au biceps fémoral, remettant en question son transfert. Mais heureusement pour lui, la direction marseillaise a pris le risque de le recruter. Un choix qui s'avère payant.

A la recherche d'une doublure à Jonathan Clauss, l'OM a misé sur Michael Murillo. L'international panaméen a été recruté pour 2,5M€. Pourtant, comme l'a confié le latéral droit, ce transfert aurait pu ne jamais voir le jour. La faute a une blessure au biceps fémoral, qui a failli remettre en question cette opération.

« Je croyais que c’était terminé »

« J’étais à la Gold Cup. Mon agent m’appelle et me dit qu’il y a un intérêt de l’OM, ce fut un moment incroyable. J’étais très ému et même choqué! Et le pire c’est que, ensuite, j’ai subi une blessure, et je croyais que c’était terminé, que ce rêve n’allait pas pouvoir se réaliser. Je remercie vraiment toutes les personnes qui ont m’ont permis de venir à Marseille » a confié Murillo lors d'un entretien à RMC Sport. Finalement, l'OM a accepté de le recruter malgré ses problèmes physiques et Murillo vit un rêve dans l'un des plus grands championnats du monde.

Murillo ne regrette pas son transfert

« Cette signature, après la naissance de ma fille, c’est le plus beau jour de ma vie. J’ai connu d’autres clubs et évidemment la pression est totalement différente ici, beaucoup plus forte. Ce qui représente le club pour la ville, pour les supporters… Pour moi c’est nouveau, mais je vais être honnête : ça me plaît énormément. J’aime cette exigence, ça oblige les joueurs à être toujours en forme, à ne jamais se relâcher, à répondre présent pour chaque match, pour rendre heureux les fans et surtout les enfants qui rêveraient d’être à notre place » a lâché Murillo. Tout est bien qui finit bien.

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