PSG : «On a été submergés», il a vécu un calvaire à Paris
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après son match nul face à Strasbourg lors de la première journée, Montpellier a enchaîné avec une lourde défaite sur la pelouse du PSG vendredi soir, en ouverture de la deuxième journée de Ligue 1. C’est un Michel Der Zakarian résigné face à la domination des Parisiens qui s’est présenté en conférence de presse d’après-match.

« Ça a été une soirée parfaite. » Luis Enrique était très satisfait de la prestation de ses joueurs vendredi, après la large victoire du PSG lors de la réception de Montpellier (6-0). Au-delà de ce score fleuve, les Parisiens ont impressionné par leur force collective et leur jeu déjà parfaitement huilé : « Nous avons livré un match tout à fait complet en attaque et en défense. »

« Ça allait trop vite pour nous, dans tous les domaines »

Forcément, le bilan de Luis Enrique contraste avec celui de son homologue Michel Der Zakarian. « Ils ont été bien plus forts que nous, du début à la fin. Ça allait trop vite pour nous, dans tous les domaines », a confié l’entraîneur de Montpellier en conférence d’après-match, dans des propos relayés par L’Équipe.

« Il y a de la vitesse, de la technique, de la puissance... On a été submergés »

Michel Der Zakarian a ajouté : « Il y a une adversité en face qui est autre que Strasbourg (1-1). Il y a de la vitesse, de la technique, de la puissance... On a été submergés. On a été en incapacité de gagner les duels, de les faire courir. Eux nous ont fait courir, tout le temps en retard. Techniquement, ils étaient plus forts que nous, tactiquement et physiquement aussi. Vous pouvez mettre tous les systèmes que vous voulez, si vous ne gagnez pas les duels, vous ne pouvez gagner les ballons. Et il faut bien l'utiliser, il faut bouger, se faire des bonnes passes. Mais ça allait trop vite pour nous, quand ils nous pressaient, on était dans l'incapacité de garder le ballon. »

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