Alors que le PSG a célébré samedi un nouveau titre de Champion de France, la saison est loin d’être terminée avec des défis majeurs à venir, dont la Coupe du monde des clubs qui aura lieu cet été aux États-Unis. Youri Djorkaeff, ancien du club et conseiller à la Fifa, a défendu cette nouvelle compétition.
Sacré Champion de France à six journées de la fin, le PSG est encore loin d’avoir fini sa saison. Il y a évidemment la Ligue des champions, avec un quart de finale contre Aston Villa, et la finale de la Coupe de France face à Reims, mais aussi la Coupe du monde des clubs qui aura lieu cet été, aux États-Unis (du 14 juin au 13 juillet 2025).
« Ce serait quand même dommage d’être le seul pays au monde à ne pas s’y intéresser »
Alors que des critiques sont déjà émises concernant cette nouvelle compétition à cause du rythme infernal que subissent les joueurs, Youri Djorkaeff, ancien joueur du PSG reconverti comme conseiller football de la Fifa, a défendu ce projet en encourageant les Français à suivre la compétition. « Ce serait quand même dommage d’être le seul pays au monde à ne pas s’y intéresser », confie-t-il dans Le Parisien.
« Tout le monde attend ça »
« Je voyage beaucoup, je vous assure que tout le monde attend ça, affirme Djorkaeff. Je rencontre beaucoup d’entraîneurs, beaucoup de joueurs, c’est vrai qu’ils nous disent qu’ils font beaucoup de matchs. Mais la vraie question concerne la qualité des matchs. Là, c’est la Coupe du monde des clubs. Vous avez sept matchs pour être champion du monde. Pour un joueur ou pour un club, ça donne envie de la jouer et de la gagner. »
Luis Enrique a effectivement affiché sa volonté de remporter ce nouveau trophée. « C'est un format attirant, qui va être intéressant pour les supporters. Je pense que ça va définir la meilleure équipe du monde, expliquait cette semaine l’entraîneur du PSG en conférence de presse. On ne parle pas encore de la Coupe du monde des clubs, toute notre énergie va dans le match de demain. On représentera la France, ça sera une motivation supplémentaire. De devenir une référence dans le monde entier, aussi. »