«Jacquouille la Fripouille» à l’OM, il sort enfin du silence !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Le 1er février 2023, après une victoire de l’OM sur la pelouse du FC Nantes (0-2), Jonathan Clauss s’était fait remarquer pour sa coupe de cheveux. Sur les réseaux sociaux, certains l’avaient comparé au personnage Jacquouille la Fripouille dans le film les Visiteurs, une anecdote sur laquelle est revenu l’international français.

Dans un entretien accordé à Kampo, Jonathan Clauss est revenu sur sa fameuse coupe de cheveux, à l’issue d’une victoire de l’OM sur la pelouse du FC Nantes le 1er février 2023. Plusieurs internautes s’en étaient amusés sur les réseaux sociaux, le comparant avec le personnage du film Les Visiteurs, Jacquouille la Fripouille, interprété par Christian Clavier.

« Là je suis mort, je sais que je suis mort »

« J’ai fait une grosse erreur ? La coupe de cheveux, celle de Jacquouille la Fripouille ? J’explique la situation. Je vais chez le coiffeur, je dis qu’en fait je veux faire une crête, mais le problème c’est que ça ne doit pas être trop crête, faut que ce soit quand même large et le problème c’est que j’ai les cheveux archi raides, mais quand ils sont lavés c’est une horreur, ils retombent immédiatement », a expliqué Jonathan Clauss.

« Tous les jours, ils m’ont placardé la photo dans mon casier »

L’ancien joueur de l’OM, aujourd’hui à l’OGC Nice, poursuit : « Et du coup, après le match, je me dis que personne ne m’a prévenu donc pas d’interview, je me lave les cheveux, logique. Je sors du vestiaire, direction le bus, le plus rapidement possible si c’est possible et la personne qui s’occupait de la com’ me dit qu’elle a besoin de moi. Je dis non, mais je me retrouve là et je me dis : “Merde”. Là je suis mort, je sais que je suis mort. Pendant le match, ça passait, mais si je ne suis pas coiffé c’est catastrophique. Et cette photo là, c’était terminé. Moi même je savais. Et après, j’avais des abrutis dans le vestiaire. Eux, tous les jours, ils m’ont placardé la photo dans mon casier. Je l’enlevais, ils la remettaient, j’étais fou. »

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