Il y a quelques semaines, le PSG jouait son avenir en Ligue des champions face à Manchester City. Le club de la capitale a réussi à venir à bout des Cityzens sur le score de quatre buts à deux, notamment grâce à un grand Bradley Barcola. Pourtant, l’attaquant a longtemps énervé l’ancien Parisien Alain Roche lors de cette rencontre.
Les 5 et 11 mars prochains, le PSG défiera Liverpool en huitième de finale de Ligue des champions. Des matches qui s’annoncent spectaculaires et que les Parisiens auraient pu ne jamais disputer. Il faut dire que ces derniers étaient très mal partis pour la qualification et ils se sont réveillés lors des trois derniers matches, avec notamment une très belle victoire contre Manchester City (4-2).
Al-Khelaïfi lâche le PSG, décision imminente !
— le10sport (@le10sport) February 23, 2025
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Barcola a brillé contre Manchester City
Face à Manchester City le 22 janvier dernier, le PSG était quasiment dans l’obligation de s’imposer pour croire encore à une qualification. Cela avait pourtant très mal commencé pour les Parisiens, qui étaient menés deux buts à zéro. Finalement, les coéquipiers de Marquinhos ont réussi à inverser la tendance, avec notamment un très bon Bradley Barcola. Le joueur de 22 ans avait entre autres offert le premier but parisien à Ousmane Dembélé, avant d’égaliser dans la foulée.
Barcola a rendu fou Alain Roche
Bradley Barcola a donc rendu une très belle copie face à Manchester City, mais son début de match ne laissait pas présumer une telle prestation. Pour le JDD, l’ex-Parisien Alain Roche est justement revenu sur la rencontre du numéro 29 du club de la capitale. Selon l’ancien défenseur, l’ailier était bien trop timide en première période face aux Skyblues, avant de devenir une vraie bête au retour des vestiaires. « Son évolution est excellente. Face à Arsenal ou au Bayern, il était encore en dedans, mais il y a eu un déclic face à Manchester City. Ce soir-là, pour lui, c’était à pile ou face. En première mi-temps, il tergiversait, n’osait pas, je me disais en tribune : "Ce n’est pas possible ! " Et puis au retour des vestiaires, il s’est mis à accélérer, il a marqué le but de l’égalisation à 2-2 et entraîné ses coéquipiers dans la folle remontée. Le fait d’avoir dominé ces joueurs-là lui a donné une confiance supplémentaire, des certitudes, des certitudes techniques. »