Antoine Dupont : Problème d'argent, il reçoit une réponse !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Il y a quelques jours, Antoine Dupont n'a pas hésité à pousser un coup de gueule contre le salary cap. Des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir, et cette fois-ci c'est Gaël Fickou qui a pris position, prenant la défense de son coéquipier au sein du XV de France.

Il y a quelques jours, Antoine Dupont ne cachait pas sa colère face aux règles du salary-cap imposé dans le Top 14 et qu'il jugent trop invasives. « Ce n’est pas correct de ne pas autoriser les joueurs à utiliser leur image personnelle dans un cadre publicitaire. Les règles nous empêchent aujourd’hui d’utiliser notre image individuelle à travers des contrats de pub classiques comme je peux en avoir en dehors. Si un partenaire veut utiliser mon image et faire un contrat, ce contrat sera retoqué dans le salary cap », lâchait ainsi le capitaine du Stade Toulousain. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir puisque plusieurs acteurs majeurs du rugby français ont donné leur avis sur la question. Un débat qui divise et sur lequel Gaël Fickou a également pris position.

Fickou répond à Dupont

« J'ai un positionnement différent, dans le sens où au Racing on n'est pas trop concernés par ce problème-là, en interne. Je suis assez proche d'Antoine, on en a discuté », a confié le joueur du Racing 92 en conférence de presse avant d'en rajouter une couche.

«Il y a des solutions à trouver, des ajustements à faire, sans en faire des tonnes»

« C'est lié aux contrats d'image et lui en a énormément, donc si on lui réquisitionne une partie parce que c'est les mêmes sponsors que le club... S'il fait une pub pour une marque et que c'est lui la valeur ajoutée de cette pub, je ne vois pas pourquoi ça serait mis dans le salary-cap. Il y a des solutions à trouver, des ajustements à faire, sans en faire des tonnes », ajoute Gaël Fickou.

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