Mercato - PSG : «Il reste», la bombe est lâchée !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Présent en conférence de presse à l'occasion de sa présentation officielle, Antonio Conte n'a pas échappé aux questions sur Khvicha Kvaratskhelia, annoncé avec insistance du côté du PSG. Mais le nouvel entraîneur de Naples assure non seulement que le Géorgien va rester, mais précise également qu'il a un plan pour l'installer dans son système de jeu.

«Kvaratskhelia reste»

« Il reste. Non, parce que je ressens une certaine perplexité. Je le répète, il ne faut pas en avoir. J'ai été très catégorique sur ce point. Je ne voudrais pas non plus que ce refrain se répète à l'avenir. C'est le président qui lui a annoncé cette merveilleuse nouvelle. Kvaratskhelia est un joueur dont les caractéristiques sont de plus en plus rares, ce n'est donc pas un caprice de vouloir garder Kvara. Je le considère comme un joueur très fort, comme Di Lorenzo. Fort en un contre un s'il est sur le flanc, mais aussi fort quand il rentre, mais c'est aussi un fantaisiste, il crée des situations non seulement en termes de buts mais aussi de passes décisives très importantes », lance le technicien italien devant les médias, avant de poursuivre.

Conte dévoile son plan pour Kvaratskhelia 

« Si Kvara est systématiquement cantonné à l'intérieur du terrain, je pense qu'il perd un peu sa liberté mentale. Nous devons nous plier à ses caractéristiques, nous le ferons avec lui et avec les joueurs que nous avons dans l'équipe. Nous l'avons lui, Politano, Ngonge, Lindstrom... Tous les joueurs qui ont la capacité de sauter l'homme en un contre un tout en jouant à l'intérieur du terrain. L'idée tactique est très claire : nous devons juste décider quand nous voulons défendre à cinq parce que les équipes sont peut-être beaucoup plus fortes, ou à quatre et accepter la supériorité numérique. Mais la façon de construire et d'attaquer sera très similaire », ajoute Antonio Conte.

Articles liés