Alors qu’Alvaro Gonzalez se trouve actuellement dans une situation pas facile à l’OM, l’Espagnol a notamment pointé du doigt Jorge Sampaoli et Pablo Longoria.
Dès son arrivée à l’OM, Alvaro Gonzalez s’était imposé comme le patron de la défense. Important sur la Canebière, l’Espagnol avait même été prolongé en mai dernier. Mais les choses ont vite changé pour le défenseur central. En effet, aujourd’hui, Alvaro Gonzalez n’entre plus dans les plans de Jorge Sampaoli, qui l’avait d’ailleurs poussé au départ lors du dernier mercato hivernal. Finalement, l’ancien de Villarreal est resté à l’OM, refusant de faire ses valises comme le10sport.com vous l'a révélé, mais il garde en travers de la gorge le comportement de sa direction et de son entraîneur.
« Ils m’ont prolongé et à partir de là les problèmes ont commencé »
« Ce que je vis actuellement c’est footballistiquement mauvais car l’entraîneur et le club ont pris des décisions alors que j’avais prolongé il y a 5 mois et je ne voulais pas partir. Dans la ville, tout le monde m’apprécie, je suis à l’aise, mais au final, si je ne joue pas, je ne suis pas bien et je ne suis pas dans mon meilleur moment. Je suis victime d’une situation qui n’est pas sportive ? Je ne sais pas de quoi je suis victime. Je sais qu’ils m’ont prolongé et à partir de là les problèmes ont commencé. J’ai dû baisser mon salaire le 31 août pour qu’ils puissent signer un joueur et même si ça m’a touché car je suis le 3ème capitaine de l’équipe, j’ai compris qu’il fallait que je le fasse pour le club et les coéquipiers. A partir de là, ils ont commencé à me rabaisser d’une manière incompréhensible après la façon dont je me suis comporté, que j’ai tout donné pour le club. Après, ils ont voulu me faire partir de la mauvaise manière alors que je ne voulais pas. Une décision du club ? Totalement. Du club, de l’entraîneur. Je suis sûr que ce n’est pas footballistique car je venais de faire deux saisons qui ont été les meilleures de ma carrière. Physiquement je suis mieux que jamais », a notamment lâché Alvaro Gonzalez dans un entretien accordé à AS.