Si Amine Gouiri et Ismaël Bennacer sont arrivés cet hiver, les Algériens ont été peu nombreux à l’OM ces dernières années, malgré les liens entre Marseille et l’Algérie. S’il assure ne pas « regarder la carte d’identité lors du recrutement » et prend aussi la CAN en considération, Medhi Benatia a avoué que leur intégration pouvait être favorisée dans la cité phocéenne.
Avant Amine Gouiri et Ismaël Bennacer, arrivés cet hiver, il fallait remonter aux débuts des années 2010 en la personne de Foued Kadir pour retrouver la trace du dernier international algérien ayant évolué à l’OM. Sous l’impulsion de Jacques-Henri Eyraud, le club a ouvert une école de foot en Tunisie, mais n’est pas présent en Algérie, malgré les liens forts avec Marseille.
Mercato : Un attaquant débarque à l’OM à contre-coeur !
— le10sport (@le10sport) February 21, 2025
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« On ne regarde pas la carte d'identité lors du recrutement »
« On ne regarde pas la carte d'identité lors du recrutement, la considération est liée à la CAN, surtout », a répondu Medhi Benatia à L'Équipe, quand il lui a été demandé si des passerelles entre l’OM et l’Algérie pourraient être programmées à l’avenir.
« Tout club en Europe aimerait faire un Bensebaini, un Aït-Nouri… »
Medhi Benatia poursuit : « Aujourd'hui, tout club en Europe aimerait faire un Bensebaini, un Aït-Nouri... Mais il est logique que l'international algérien ajoute ce paramètre à sa réflexion : "Je vais me sentir à la maison, je vais être accueilli ainsi, et si les résultats sont bons, l'adoption va aller très vite." »