Mercato : Après l'OM, l'Arabie Saoudite veut racheter un autre club de L1 !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Placés sous la protection du Tribunal de Commerce, les Girondins de Bordeaux sont en grand danger et attendent qu'un investisseur se positionne. Et le sauveur pourrait venir d'Arabie Saoudite.

Par le biais d'un communiqué, les Girondins de Bordeaux ont annoncé qu'alors que « le FC Girondins de Bordeaux est fortement impacté, King Street, son actionnaire, après avoir investi 46 M€ dans le Club depuis son rachat, a fait savoir qu’il ne souhaite plus soutenir le Club et financer ses besoins actuels et futurs ». Une situation qui a poussé le président bordelais, Frédéric Longuepée, à placer le club sous la protection du Tribunal de Commerce de Bordeaux. Autrement dit, deux options s'offrent désormais aux Girondins : le dépôt de bilan ou le rachat du club par un investisseur. Bruno Fiévet, homme d'affaires français, s'est déjà positionné, tandis que comme le10sport.com vous le révélait en exclusivitéAlain Giresse a été missionné par le maire de Bordeaux afin de trouver une solution.

Turki Al Sheikh en contact pour racheter Bordeaux ?

Et ce n'est pas tout. En effet, selon les informations de Ben Jacobs, des contacts existaient entre Turki Al Sheikh, conseiller saoudien à la Cour royale, et King Street, ancien propriétaire des Girondins. « Je peux confirmer que le conseiller de la Cour royale saoudienne et propriétaire d'Almeria, Turki Al Sheikh, s'intéresse à Bordeaux et a pris contact avec King Street. Surveillez cet endroit. Le club est actuellement sous la protection du tribunal de commerce, et le maire Pierre Hurmic dit qu'il envisage de s'impliquer dans la recherche d'un nouveau propriétaire / investissement. Mais on me dit que l'approche initiale de TAS était directement aux représentants de King Street pour comprendre le contexte du terrain », écrit le journaliste britannique sur son compte Twitter.

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