Une crise frappe le PSG, une star monte au créneau
Thomas Bourseau

Le PSG a enchaîné deux défaites de rang face à l’OM et l’AS Monaco cette semaine. Pas la meilleure des préparations pour le Paris Saint-Germain avant le Bayern Munich. Mais pour Presnel Kimpembe, il n’est nullement question d’une crise. 

Presnel Kimpembe n’est plus sur sur les pelouses du PSG depuis le mois de novembre en raison de sa blessure. Cependant, le titi parisien est sur la phase de retour et était présent ce samedi après-midi à Louis II pour le dernier match du PSG avant le choc en 1/8ème de finale de Ligue des champions face au Bayern Munich mardi prochain. 

Kimpembe est allé voir les supporters parisiens 

Le PSG s’est une nouvelle fois incliné comme face à l’OM en 1/8ème de finale de Coupe de France mercredi soir (2-1), mais cette fois-ci sur le score de 3 buts à 1. L’addition aurait pu être bien plus salée si Gianluigi Donnarumma n’avait pas sauvé le PSG à plusieurs reprises. Après la défaite, Presnel Kimpembe est allé discuter avec un mégaphone aux supporters parisiens qui avaient fait le déplacement et qui étaient de manière très audible mécontents. 

Le titi parisien dédramatise et refuse d’évoquer une crise 

Après le revers essuyé par le PSG à Monaco, Presnel Kimpembe a pris la parole en zone mixte et dans des propos rapportés par L’Équipe, le champion du monde tricolore s’est interrogé sur le terme évoqué par les médias : la crise. « Pourquoi la crise ' ». A-t-il commencé par rétorquer aux journalistes avant d’évoquer tout le temps restant. « Les résultats négatifs ? Oui mais ce n'est pas la crise. La saison est encore longue, ce n'est pas fini. Même si on est conscients, on sait qu'il n'y a pas les résultats espérés. C'est comme ça, c'est le football. À nous de se réveiller, de faire ce qu'il faut pour pouvoir enchaîner les bonnes prestations ». Pour Kimpembe, le PSG n’est pas en pleine crise, mais traverse simplement une mauvaise passe. « C'est une mauvaise passe oui. Comme on le sait, porter le maillot du PSG c'est dur, c'est lourd. Il faut prendre nos responsabilités et faire ce qu'il faut sur le terrain ». 

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