Recruté contre 70M€, Khvicha Kvaratskhelia a été officiellement présenté par le PSG ce vendredi. Destiné à évoluer sur le côté gauche de l’attaque parisienne, le Géorgien pourrait obliger Luis Enrique a modifié ses plans tactiques. De là à replacer un Bradley Barcola dans l’axe ? Robert Pirès y croit potentiellement.

« C’est un honneur de pouvoir porter le maillot du PSG. C’est un rêve pour moi de jouer pour l’une des plus grandes équipes du monde. C’est une grande fierté et un rêve, et nous allons nous battre ensemble pour accomplir nos rêves. Je suis très heureux d’être là. » Arrivé au PSG ce vendredi, Khvicha Kvaratskhelia a semblé très enthousiaste à l’idée de défendre les couleurs parisiennes. Désormais, Luis Enrique va devoir réfléchir à comment incorporer au mieux le nouveau numéro 7 au sein de son système tactique.
Luis Enrique prêt à révolutionner le PSG avec Kvaratskhelia. Quelles conséquences pour l'équipe ? 🚀 https://t.co/0zEAqu5JkZ
— le10sport (@le10sport) January 18, 2025
Luis Enrique va tout changer en attaque ?
Pour Robert Pirès, l’entraîneur du PSG pourrait replacer certains joueurs comme Bradley Barcola au cours des prochaines semaines. « S’il a été formé comme 9, oui. Si tu as été formé pour être un joueur de côté, ce n’est pas pareil. Aujourd’hui, il y a de la concurrence sur les côtés mais il y a aussi Ramos qui est là devant. Et lui, c’est un véritable numéro 9 », a confié le champion du monde 1998 auprès du Parisien.
« Tu peux joueur avec Barcola en numéro 9 »
« Après, Luis Enrique a fait jouer son équipe plusieurs fois sans un vrai avant-centre. À ce moment-là, oui tu peux joueur avec Barcola en numéro 9. Peut-être qu’il peut dire à Luis Enrique oui, je suis capable de jouer avant-centre. Mais pour moi, le vrai 9, c’est quand même Ramos. Quand je vois Barcola côté gauche, je l’aime beaucoup. Il est pour le moment dans le dur mais n’oublions pas qu’il vient seulement d’avoir 22 ans, qu’il a beaucoup joué et n’a pas eu le temps de souffler. C’est un joueur formidable ! Peut-être qu’il va avoir un temps de jeu réduit, mais il doit rester mobilisé », conclut Robert Pirès.