Textor part au clash : La réponse de l'OM en direct !
Arnaud De Kanel

Depuis son arrivée à la tête de l'OL, John Textor ne cesse de faire parler de lui. Loin d’être adepte de la langue de bois, l’homme d’affaires américain impose son style direct et sans concession. Après avoir ouvertement remis en question les décisions de la DNCG, il s’est attaqué à Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, et plus récemment à Pablo Longoria, dirigeant de l’OM. Fabrizio Ravanelli est monté au créneau ce samedi soir pour défendre son président.

Dans le paysage du football moderne, où les investissements se multiplient, Pablo Longoria n’a pas mâché ses mots au sujet du modèle de multi-propriété incarné par John Textor. Le président de l'OM a exprimé de vives réserves sur cette stratégie qui, selon lui, pose un problème d’équité en Ligue 1. Textor n'a évidemment pas apprécié et il s'en est pris à Longoria, l'accusant notamment d'être le porte parole du PSG. La passe d'arme s'est poursuive ce samedi soir avec un nouvel intervenant.

«Il ne devrait pas se permettre de juger le boulot de notre président»

Cette fois-ci, il s'agit de Fabrizio Ravanelli. Le conseiller de Pablo Longoria s'en est pris au président de l'OL en direct sur DAZN. « Je voudrais dire que le président (Pablo Longoria, ndlr) n'a pas trop fait attention aux déclarations de Textor. En tant qu'institution, je dis qu'il ne devrait pas se permettre de juger le boulot de notre président et de l'OM. Notre président, ça fait 20 ans qu'il est dans le football. Il a montré tout son niveau, son intelligence, son état d'esprit », a lâché l'Italien, avant de poursuivre.

«Il devrait balayer devant sa porte»

« Le président Textor vient d'arriver maintenant dans le football. Il ne devrait pas se permettre de juger le club et notre président. Il devrait balayer devant sa porte. Lorsqu'il est venu à Marseille pour le match, son entraîneur s'était blessé, il voulait jouer le match et n'a pas montré de respect pour son entraîneur. Notre président était proche de l'entraîneur lyonnais. Il ne voulait pas jouer le match. Et cette année, quand il est venu dans la salle du président, il n'a pas passé le bonjour à tout le monde. C'est l'éducation et le respect. Dans la vie, c'est ça qui compte », a ajouté Fabrizio Ravanelli. Le clash se poursuit.

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