OM : «Magique», Gasset exulte après l’exploit !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Battu à l’aller (2-1), l’OM a réussi à refaire son retard pour obtenir son ticket pour les demi-finales de la Ligue Europa jeudi soir en s’imposant aux tirs aux buts face au Benfica Lisbonne (1-0, 4-2 aux t.a.b.). Très fier de ses joueurs, d’autant plus avec un groupe handicapé par les blessures, Jean-Louis Gasset a exprimé sa joie après la qualification.

Six ans après, l’OM va retrouver les demi-finales de la Ligue Europa. Les Olympiens avaient un retard d’un but à remonter après leur défaite sur la pelouse du Benfica Lisbonne la semaine dernière lors du match aller (2-1). Malgré leur domination, il aura fallu attendre la 79e minute ce jeudi soir pour que Faris Moumbagna inscrive le but qui a envoyé les deux équipes en prolongation, avant que l’OM ne se qualifie finalement aux tirs au but (1-0, 4-2 aux t.a.b.).

« C’est quelque chose de magique »

L’OM verra donc les demi-finales de la Ligue Europa, où il sera opposé à l’Atalanta Bergame, tombeur de Liverpool (victoire 0-3 à l’aller, défaite 0-1 au retour). « Ça a été le scénario idéal, le suspense jusqu'au bout, les tirs au but et se qualifier pour une demi-finale de Coupe d’Europe devant notre public. C’est quelque chose de magique », a confié Jean-Louis Gasset au micro de RMC Sport à l’issue de la rencontre, lui qui a été nommé entraîneur de l’OM le 20 février dernier.

« Je suis venu pour des matchs comme ça »

« Je l’ai dit il y a 48 heures, je suis venu pour des matchs comme ça. Connaissant la qualité de l’adversaire et vu notre équipe un peu handicapée, j'étais quand même inquiet avant le match. Mais les joueurs m’ont rassuré dans l’état d’esprit et le don de soi. Ce groupe a quand même de la moelle et il y a des guerriers. On ne le fait pas voir tout le temps, mais dans les grandes occasions ils sont là », a poursuivi Jean-Louis Gasset.

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