«Il est imbuvable», il balance sur l’entraîneur de l’OM
La rédaction

Arrivé l'été dernier, Igor Tudor est en difficulté ces dernières semaines. Son équipe reste en course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions, mais les dernières copies rendues ont provoqué la colère des supporters. Certains journalistes n'hésitent pas, aussi, à prendre la parole pour dénoncer son manque de créativité, mais aussi son attitude en zone mixte.

Décrié en début de saison, Igor Tudor était parvenu à se refaire une réputation à Marseille grâce à ses bons résultats sur le terrain, mais aussi à son caractère entier. Un caractère, qui commencerait, toutefois, à agacer certains journalistes. Alors que l'entraîneur de l'OM traverse une période délicate en ce moment sur le plan sportif, David Berger a livré son ressenti. Et le journaliste de Canal + n'a pas été tendre avec Tudor.

« L’homme je le trouve imbuvable »

« Tudor, il a un super palmarès non? Il a entraîné en Angleterre, en Espagne, il a entraîné tous les grands clubs Igor Tudor on est d’accord? Il ne vient pas de l’Hellas Verone? Il crache dans la soupe de la Ligue 1… Surpris de ses déclarations? Il y a quelques jours, il encensait la Ligue 1 et c’est une bonne traduction, c’est bien ce qu’il dit. Il dit tout et son contraire. Je différencie toujours l’entraîneur et l’homme. L’homme je le trouve imbuvable. Il y a eu plein de cas où il est intimidant avec mes confrères journalistes » a déclaré David Berger, qui n'a pas caché sa gêne au moment d'évoquer son comportement en zone mixte.

« Il peut partir en vrille »

« En interview, il met la main sur l’épaule en disant « my friend… », on comprend que si on le relance ou si on pose une question gênante, il peut partir en vrille. Ça me dérange vraiment, on fait ce métier pour le plaisir et on peut prendre des risques en le titillant un peu. L’entraîneur, on peut débattre. Il fait globalement une bonne saison mais sa dernière ligne droite, il doit se montrer et surtout, il ne se remet jamais en question. C’est un peu facile d’accuser l’adversaire qui joue bloc bas. C’est à lui d’être créatif » a confié le journaliste sur Europe 1.

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