Présent à Clairefontaine ce mardi pour les 50 ans de l’INF, Jean-Michel Aulas a commenté la situation de l’Olympique Lyonnais, qui reste assez compliquée malgré la récente victoire face au Stade Rennais (0-1). Et l’ancien président a surpris, avec une phrase à propos de l’avenir du projet mené par John Textor.
La passation de pouvoir à l’OL ne s’est pas faite dans le plus grand des calmes. Les relations entre Jean-Michel Aulas et John Textor sont en effet assez tendues, avec plusieurs attaques directes dans les médias et notamment un été extrêmement agité. Pourtant, une réconciliation semble possible...
Il va se faire virer à cause de l’OL ? https://t.co/1nZWdaOQah pic.twitter.com/joU4jfrmRL
— le10sport (@le10sport) November 13, 2023
« Je suis persuadé que les nouveaux propriétaires vont s'interroger pour trouver les bonnes solutions »
La situation a semblé changer avec un récent message d’Aulas sur les réseaux sociaux, se félicitant de la volonté de John Textor de miser sur Juninho pour relancer l’OL. Et cette évolution se confirme avec la dernière sortie de l’ancien président lyonnais. « Comme tous les supporters, on souffre énormément, on n'avait pas l'habitude en plus de se retrouver dans cette situation » a expliqué Aulas. « Pour le moment, la greffe n'a pas pris mais je suis persuadé que les nouveaux propriétaires vont s'interroger pour trouver les bonnes solutions ».
« Il faut faire confiance aux nouveaux propriétaires »
« Vous savez, c'est un drame personnel quand pendant 36 ans vous avez œuvré... Joué 1 500 ou 1 600 matches de Première Division chez les garçons, plusieurs centaines chez les féminines, 350 matches européens chez les garçons et les filles... On a envie de continuer comme avant donc je le vis mal » a poursuivi Jean-Michel Aulas, dans des propos rapportés par L’Equipe. « Il faut faire confiance aux nouveaux propriétaires, et je suis persuadé qu'après cette période un petit peu difficile on va prendre les bonnes décisions, ce qui permet de garder espoir. Alors je ne suis ni optimiste, ni pessimiste, mais je garde espoir ».