Victor Wembanyama et les Spurs de San Antonio ont inauguré la saison NBA 2025-2026 avec éclat face à Dallas, en arborant un nouveau maillot avec le logo de Ledger, expert en sécurisation des cryptoactifs. Ce partenariat permet à la marque française une visibilité aux États-Unis, de quoi ravir son PDG.
C’est un changement qui est peut-être passé inaperçu aux yeux des fans des Spurs de San Antonio. Mercredi soir, en ouverture de la saison NBA 2025-2026, Victor Wembanyama et ses coéquipiers ont réussi leurs débuts face aux Dallas Mavericks avec une performance XXL du Français, arborant comme ses coéquipiers un maillot différent de la saison dernière. Désormais, le logo de la société tricolore Ledger apparaît à l’avant.
L’association entre Ledger et les Spurs de Wembanyama
Spécialiste de la sécurisation des cryptoactifs, la marque annonçait au début de l’été son nouveau partenariat avec la franchise NBA, une collaboration rendue possible grâce à la venue des Spurs dans la capitale française en janvier pour les NBA Paris Games, un premier contact entre les deux entités. « Jusqu'ici, rien ne semblait nous correspondre et on avait une opinion assez négative des deals sportifs, a confié pour L’Équipe Pascal Gauthier, PDG de Ledger. J'ai rencontré R.C. Buford (le président des Spurs) en avril à New York, au Madison Square Garden. Il m'a présenté lui-même la franchise et ses valeurs. »
« La NBA est un des seuls sports américains à se développer à l'international »
« Wemby veut sortir de la case du Frenchie et redéfinir la NBA. Ça colle à ce qu'on veut faire dans notre domaine. Les Spurs sont aussi l'équipe la plus internationale de la NBA, ce qui nous correspond. Et la NBA est d'ailleurs un des seuls sports américains à se développer à l'international », poursuit Pascal Gauthier, ravi de cette visibilité aux États-Unis pour Ledger : « C'est notre premier marché, il représente 30 % de notre business. On n'aurait pas fait de sponsoring ailleurs. En Chine, ça ne nous sert à rien. Une équipe de foot européenne ne touche pas non plus notre cible ».