Retour en NBA : Le grand rêve de Michael Jordan !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Désormais âgé de 62 ans, Michael Jordan rêverait de pouvoir encore jouer aujourd’hui. Dans un entretien accordé à NBC, qui l’a recruté comme consultant, diffusée à la mi-temps du match entre OKC et Houston, la légende des Chicago Bulls a confié qu’il « adore toujours ce sport » et que la compétition lui manque énormément.

Pour le retour de la NBA sur NBC, le diffuseur américain s’est attaché les services de Michael Jordan. Celui considéré par beaucoup comme le plus grand joueur de l’histoire y officiera en tant que consultant et s’est livré pour la première fois dans une interview diffusée à la mi-temps de la rencontre opposant l’Oklahoma City Thunder et les Houston Rockets, à l'occasion de la reprise de la saison.

« Je passe du temps avec ma famille et à faire des choses que je n'ai pas faites pendant longtemps »

« C'est fou à quel point on ne se rend pas compte du temps que l'on ne peut pas consacrer à sa famille pendant sa carrière. C'est ce que j'ai le temps de faire désormais. C'est ma principale ressource aujourd'hui : le temps. Et c'est pour cela que vous ne me voyez pas beaucoup. Je passe du temps avec ma famille et à faire des choses que je n'ai pas faites pendant longtemps », a confié Michael Jordan, avant d’évoquer son rôle de consultant, qu’il considère comme une « obligation envers le basketball ».

« Je rêverais de prendre une pilule magique, mettre mes chaussures et jouer aujourd'hui »

« Ce n'est pas financier. Je veux pouvoir passer des enseignements de succès et d'investissement dans le basket », a expliqué la légende des Chicago Bulls. « J'adore toujours ce sport. Je l'aime comme vous ne pourriez l'imaginer. Je rêverais de prendre une pilule magique, mettre mes chaussures et jouer aujourd'hui. C'est qui je suis. Je vis pour la compétition. Cet aspect du basket me manque, me challenger face aux meilleurs. Mais c'est mieux pour moi d'éviter de me rompre le tendon d'Achille et finir sur une chaise roulante. »

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