Rugby : Boudjellal lâche une punchline sur Urios
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

L'ASM est un mauvais élève. Le club clermontois est à la traîne en ce qui concerne les règles liées aux quotas JIFF. Raison pour laquelle Christophe Urios a remanié son groupe ces dernières semaines. Il y a quelques jours, le technicien s'était exprimé sur cette règle, ce qui lui a valu de gentilles moqueries de la part de Mourad Boudjellal, ancien président du RC Toulon.

Cette saison, les équipes de Top 14 ont des contraintes, notamment en ce qui concerne les JIFF. A la fin de saison, chaque club doit présenter une moyenne égale à 16 joueurs issu de la filière de formation. Pour rentrer dans les cases, il faut avoir passé au moins 3 saisons en centre de formation agréé d'un club de rugby professionnel de 16 à 21 ans ou avoir été licencié pendant au moins 5 saisons à la Fédération française de rugby avant ses 23 ans. Pour l'instant, l'ASM est à la traîne et Christophe Urios en a bien conscience. Ces dernières semaines, il a profondément remanié son groupe pour faire gonfler cette moyenne.

« Cela m’empêche moins de dormir… mais pas de manger »

En conférence de presse il y a quelques jours, Urios avait exprimé un certain ras-le-bol. «Cela m’empêche moins de dormir… mais pas de manger (rires). C’est plus facile évidemment pour moi de ne pas avoir cette règle des JIFF. » avait confié le coach de Clermont.

Boudjellal se moque d'Urios

Une sortie qui a fait marrer Mourad Boudjellal, ancien président du RC Toulon. Dans sa chronique pour Eurosport, il a gentiment taclé Urios. « La déclaration de la semaine, c’est celle de Christophe Urios. Elle m’a fait mourir de rire. Il a dit que les JIFF et le Salary Cap ça l’empêchait de dormir mais pas de manger. Christophe, on l’avait remarqué ! » a confié Boudjellal lors de sa chronique intitulée Mourad de Toulon.

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