PSG : Sa petite amie fait une révélation après son transfert à Paris
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Formé à Krasnodar, Matvey Safonov n’avait connu jusqu’à présent que le club russe. Mais voilà que cet été, le gardien a fait ses valises et quitté son cocon pour rejoindre le PSG. Safonov a ainsi posé ses valises dans la capitale français et forcément, il faut s’adapter à ce nouvel environnement. Il en va de même pour sa petite amie et ce n’est visiblement pas simple pour elle.

Du côté du PSG, on avait démarré très fort le marché des transfert. A peine le mercato ouvert, le club de la capitale avait officialisé l’arrivée de Matvey Safonov. Recruté pour près de 20M€ en provenance de Krasnodar, le gardien a ainsi quitté sa Russie natale pour franchir une nouvelle étape dans sa carrière. Mais Safonov n’est pas arrivé seul à Paris, puisqu’il est accompagné de sa petite amie.

« Le français s'est avéré difficile pour moi »

Marina Kondratyuk a donc suivi Matvey Safonov suite à son transfert au PSG. Voulant s’intégrer au mieux dans la capitale française, elle s’est lancée dans l’apprentissage de la langue de Molière. Mais c’est loin d’être simple comme elle l’a révélé sur son canal Telegram : « J’apprends lentement une nouvelle langue. Le français s'est avéré difficile pour moi, mais j’essaie ».

Quel rôle pour Safonov au PSG ?

D’un point de vue sportif, avec ce transfert de Matvey Safonov au PSG, l’une des questions est de savoir quelle sera la hiérarchie chez les gardiens où on retrouve également Gianluigi Donnarumma et Arnau Tenas. A ce propos, Safonov avait révélé : « On ne m'a pas dit que j'étais le n°2. Je viens à Paris pour jouer. Même s'ils me disaient que je serais n°2, je ne les écouterais pas ».

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