Premier coup de théâtre pour Luis Enrique, le PSG a tranché
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Bien qu'enthousiasmant en début de saison, le PSG version Luis Enrique ne parvient pas à obtenir de résultats très encourageants. L'humiliation sur la pelouse de Newcastle (1-4) est d'ailleurs le premier avertissement sérieux de la saison pour les Parisiens, et notamment pour le technicien espagnol dont le choix d'aligner un onze de départ ultra-offensif n'a pas payé. Pas de quoi remettre en cause pour autant Luis Enrique.

Arrivé sur le banc du PSG cet été, Luis Enrique connaît sa première grosse zone de turbulence. En effet, le club parisien a lourdement chuté sur la pelouse de Newcastle (1-4). Et le technicien espagnol est clairement pointé du doigt à cause de ses choix tactiques. Il avait effectivement décidé d'aligner une nouvelle fois quatre attaquants, à savoir Kylian Mbappé, Randal Kolo Muani, Ousmane Dembélé et Gonçalo Ramos. Un onze de départ résolument offensif qui a sombré à Newcastle. Toutefois, pas de quoi remettre en cause Luis Enrique pour le moment comme l'explique Marc Mechenoua, journaliste du Parisien.

Luis Enrique déjà en danger ? «Pas du tout»

« Pas du tout. Il est encore trop tôt pour tirer la sonnette d'alarme. Depuis plusieurs mois, le PSG affirme vouloir changer son mode de fonctionnement sur de nombreux aspects. Cela commence d'abord par être un club plus stable et ce n'est pas en virant l'entraîneur après la première défaite en Ligue des champions qu'il y arrivera », confie-t-il dans un Live pour le site du Parisien, avant d'apporter une autre précision.

«Patience !»

« 4 victoires, 3 nuls et 2 défaites en match officiel… En effet, le bilan n'est pas bon mais il est encore trop tôt pour parler de crise. Le PSG a fait partir plus d'une dizaine de joueurs et en a recruté tout autant. La mutation est profonde et il faut laisser le temps. Pour faire un parallèle, Mikael Arteta avec Arsenal a connu une période très difficile il y a deux saisons et sa direction lui a maintenu sa confiance. Résultat : les Gunners sont redevenus un club de premier plan en Angleterre. Patience ! », ajoute Marc Mechenoua.

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