PSG - Mbappé : La sentence annoncée par Pierre Ménès !
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

En conflit avec le PSG au moment de son départ du club en juin, Kylian Mbappé n'en a pas terminé. En effet, il s'est engagé dans une procédure avec le club de la capitale, qui ne lui a pas payé ses trois derniers mois de salaire. Les Parisiens sont condamnés à lui verser 55M€, mais le différend ne devrait pas s'arrêter là. Selon Pierre Ménès, le capitaine des Bleus n'hésitera pas à aller aux Prud'hommes.

La semaine dernière, la commission judiciaire de la LFP a enjoint le PSG à verser à Kylian Mbappé 55M€, correspondant aux trois derniers mois de salaire et aux primes d'éthique non payés en 2023-2024. Le club parisien ne semble pas vouloir régler cette somme, et l'affaire devrait prendre des proportions encore plus grandes. Selon Pierre Ménès, l'affaire devrait aller jusqu'aux prud'hommes.

Le PSG doit payer

Kylian Mbappé va encore entendre parler du PSG depuis un moment. L'attaquant français attend de recevoir 55M€; puisque les salaires des trois derniers mois n'ont pas été versés. « Peu importe que son salaire soit de 1200€ par mois ou 6 M€, c’est son salaire. C’est signé par contrat. Quel travailleur va faire cadeau de ses trois derniers mois à son employeur ? Personne ! Il est évident - et le PSG le sait – que, quoi qu’il arrive, ils devront payer ses trois derniers mois de salaire » débute Pierre Ménès sur sa chaîne YouTube.

« Il faut arrêter d’être au pays des Bisounours »

Avant son départ, Kylian Mbappé avait passé un accord oral avec le PSG, un accord qui n'a pas été respecté selon lui en fin de saison. « Mbappé n’a pas besoin de cet argent et s’il faut qu’il aille aux Prud’hommes, il ira. S’il faut qu’il fasse sanctionner le PSG au niveau des instances, il le fera. Les soi-disant promesses orales hors contrat, elles n’engagent que ceux qui les croient. Il faut arrêter d’être au pays des Bisounours » affirme Ménès.

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