Depuis quelques jours, le traitement réservé par Igor Tudor à Dimitri Payet ne cesse d’être commenté. Écarté du groupe pour le déplacement à Lille, le numéro 10 de l’OM a reçu de nombreux soutiens, à l’image de celui de Marion Bartoli, qui n’avait pas hésité à défendre l’ancien Stéphanois. Mais Daniel Riolo peine à comprendre cette attitude.
Samedi soir, Dimitri Payet n'était pas présent avec l'OM pour le déplacement à Lille. Un choix fort fait par Igor Tudor qui a décidé de se passer de son numéro 10 qui ne s'était pas mis en valeur durant la semaine d'entraînement. Une décision qui n'avait pas du tout plu à Mario Bartoli.
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— le10sport (@le10sport) May 24, 2023
Bartoli défend Payet...
« Si, dans un match au cœur de la saison, un joueur boude et manque de respect à l'entraînement, je suis complètement d'accord pour l'écarter. Un joueur ne doit pas se comporter comme ça. Mais là, Marseille fait tout pour que Payet puisse participer à ce match contre Lille, son ancien club. Et durant ces derniers matchs, il a bien joué. Avoir un joueur technique, ça peut t'aider sur la fin de match où tu n'arrives pas à marquer. Tu sais que c'était probablement l'un de ses derniers matchs en carrière professionnelle contre son ancien club. Il est en forme ces derniers temps, il faut faire preuve d'un peu de psychologie. Il est capable de redonner l'espoir. Ce n'est pas le bon timing », confiait-elle au micro de RMC. Mais cette déclaration n'était pas du goût de Daniel Riolo.
... et se fait fracasser par Riolo
« Autour de Payet, il y a énormément d’affect. Mais il ne faut pas que ça rende aveugle. J’ai entendu la groupie du pianiste, Marion Bartoli, brayer dimanche dans les Grandes Gueules du Sport parce que c’est son chouchou Payet mais quand on n’a pas les infos, il ne faut pas parler. Il va à l’entraînement, il apprend qu’il n’est pas titulaire, il traîne les pieds, on lui fait la remarque une fois. Ça ne suffit pas, il continue. Il est écarté du groupe. Ma première réaction a été, je le concède, de dire que c’est un peu exagéré de la part de Tudor », a lancé le journaliste au micro de l'After Foot.