En déplacement sur la pelouse de l’ASSE ce dimanche à l’occasion des 32es de finale de la Coupe de France, l’OM n’a une nouvelle fois pas pu compter sur le soutien de ses supporters, interdits de se rendre à Saint-Etienne. Ce qu’a regretté Roberto De Zerbi, qui considère l’absence des supporters marseillais comme une injustice.
Pour son dernier match de l’année 2024, l’OM se rendait sur la pelouse de l’ASSE ce dimanche après-midi, dans le cadre des 32es de finale de la Coupe de France. Une compétition que les Olympiens prennent au sérieux et espèrent remporter, le club étant toujours en quête de son premier trophée depuis une Coupe de la Ligue remportée en 2012.
L'OM frappe fort ! 🥅 Deux gardiens de talent pour défendre les buts, une saison prometteuse s'annonce à Marseille.
— le10sport (@le10sport) December 22, 2024
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« On va essayer de gagner cette coupe »
« On veut gagner ce match, on va essayer de gagner cette coupe. On veut faire un match sérieux, parce que ça nous tient à cœur, ainsi qu'au club et aux supporters », a déclaré Roberto De Zerbi au micro de beINSPORTS avant le début de cette rencontre. L’entraîneur de l’OM a ensuite regretté l’absence de ses supporters à Geoffroy-Guichard, interdits de se déplacer à Saint-Etienne, comme il y a deux semaines en championnat et comme c’est souvent le cas à l'extérieur.
« Ça me déplaît vraiment d'être ici sans nos supporters »
« Ça me déplaît vraiment d'être ici sans nos supporters. Selon moi, ce n'est pas juste. On vient tous à Marseille pour jouer au Vélodrome, mais aussi pour les déplacements avec nos supporters. C'est vraiment dommage qu'ils ne soient pas là », a ajouté Roberto De Zerbi. Comme indiqué par L'Équipe, malgré l’interdiction préfectorale de déplacement, 250 supporters de l’OM se sont tout de même rendus à Saint-Etienne et étaient présents devant Geoffroy-Guichard pour se prendre en photos et réclamer des places pour cette rencontre. Le préfet de la Loire a maintenu son arrêté et ils ont ensuite été parqués par les forces de police afin d’éviter tous débordements, avant d’être raccompagnés jusqu’au péage à hauteur de Vienne.