La belle série se poursuit pour l'OL. Vendredi soir, les Gones se sont joués de l'OGC Nice dans un match où les décisions arbitrales ont fait couler beaucoup d'encre. Toute la presse en parle, d'autant plus que le président des Aiglons, Jean-Pierre Rivère, a poussé un énorme coup de gueule à ce sujet en plein direct.
L'OL tourne à plein régime. Le mercato porte ses fruits puisque c'est la recrue Orel Mangala qui a inscrit l'unique but de la rencontre. L'OGC Nice enrage est s'estime lésé par l'arbitrage de Clément Turpin qui aurait pu siffler deux pénaltys selon les Aiglons. Des décisions qui pèsent lourd et que ne digère pas Jean-Pierre Rivère, furieux au micro de Prime Vidéo.
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— le10sport (@le10sport) February 17, 2024
«Ce n'est plus possible, cela s'accumule»
« Être arbitre est très difficile et il est normal de faire des erreurs. Si je prenais un sifflet, j'en ferais aussi. Mais à un moment, cela s'accumule. Cela fait plusieurs matches avec des erreurs d'arbitrage alors qu'il y a le VAR. Alors, à quoi il sert ? Ce n'est plus possible, cela s'accumule... Le week-end dernier contre Monaco (2-3), monsieur Turpin était arbitre VAR et c'est lui qui fait expulser Dante alors que l'arbitre central n'avait pas signalé de faute. Ce soir (vendredi soir), je ne comprends pas. On n'est pas des mauvais perdants mais à un moment, il faut dire stop. On a mis le VAR en place, c'est nous qui le finançons pour un peu plus de justice mais, s'il ne sert à rien, il va falloir se poser des bonnes questions. Quand on regarde les ralentis, il y a au moins deux penalties. D'abord, le coup de coude de (Duje) Caleta-Car sur (Evann) Guessand. Et ensuite, la faute de (Nicolas) Tagliafico sur (Jordan) Lotomba », a déclaré le président de l'OGC Nice. Il a employé des mots forts pour Clément Turpin.
«J'aimerais qu'il s'explique, mais il est intouchable»
« À un moment, il faut qu'il se remette en question. Je ne comprends plus rien. C'est grave de ne même pas pouvoir parler à un arbitre après un match, nous sommes aussi des acteurs du jeu. Il me dit : "Ne me touchez pas ! Ne me montrez pas du doigt !" J'aimerais qu'il s'explique, mais il est intouchable. À un moment, il (Turpin) faut qu'il redescende. Les enjeux sont importants. Quand j'ai vu qu'il officiait ce soir (vendredi soir), je me suis dit : "Aïe aïe aïe" », a ajouté Jean-Pierre Rivère. Le clash ne fait que débuter.