Laure Boulleau «agacée», le recadrage en direct
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

Après son comportement envers l'arbitre Benoît Millot lors du succès de l'OL face à Brest dimanche dernier, Paulo Fonseca a écopé d'une lourde sanction puisque la commission de discipline de la FFF l'a suspendu pendant 9 mois. Beaucoup d'observateurs ont réagi en trouvant que la sanction était abusée, à commencer par Jürgen Klopp. Pour Laure Boulleau, il a largement dépassé les bornes.

En allant poser sa tête contre la tête de l'arbitre du match face à Brest, Paulo Fonseca s'est emporté et dans le contexte actuel, il n'a pas pu éviter une lourde sanction. L'entraîneur des Gones a une réaction qui a choqué tout le monde et pourtant, beaucoup se plaignent de la sanction reçue.

Laure Boulleau trouve que la sanction est méritée

Sur le plateau du Canal Football Club ce dimanche, Laure Boulleau a tenu à revenir sur le cas Paulo Fonseca qui a fait couler beaucoup d'encre : « J’ai été agacée par les réactions. Il y a même Klopp, que j’aime beaucoup. Je trouve qu’ils prennent le problème à l’envers. Ils parlent des sanctions, car Fonseca a pris beaucoup plus que des personnes qui auraient fait la même chose, mais c’est juste que les sanctions d’avant n’étaient juste pas adaptées. J’ai revu les images, elles étaient choquantes, je trouve qu’il y a des contacts physiques et c’est une agression dans l’attitude. »

« On fait une bêtise, on est puni »

« Au début, les images nous avaient tous un peu choqué, et je trouvais qu’on allait dans le bon sens médiatiquement. Et tout d’un coup, ça s’est retourné, comme si c’était Paulo Fonseca qui était victime. Personne ne l’a forcé à faire ce qu’il a fait. Je n’ai pas envie de dramatiser le truc, mais je suis désolée, on fait une bêtise, on est puni et basta » poursuit la consultante.

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