Clash au PSG : Al-Khelaïfi, l'invitation que personne n'a vu venir !
La rédaction

Alors que le clash entre Nasser Al-Khelaïfi et John Textor est à son paroxysme, seul le propriétaire de l'OL était présent ce dimanche lors du match opposant le PSG et Lyon. Si le président du PSG n'a pas fait le déplacement, John Textor en a profité pour calmer les choses au micro de DAZN.

Ce dimanche avait lieu le match opposant l'OL au PSG pour clôturer la 23e journée de Ligue 1. Une victoire 3-2 du PSG, cependant, ce n'est pas le résultat que l'on retient, mais plutôt le clash entre les présidents des deux clubs. Si L’Équipe et France Télévisions avaient fait des révélations sur une réunion entre présidents de Ligue 1 pour accorder les droits de diffusion du championnat français, Nasser Al-Khelaïfi et John Textor avaient eu des échanges très tendus.

« Il peut m’appeler à n’importe quel moment »

Au micro de DAZN, le propriétaire de l'OL, John Textor, a fait une déclaration étonnante. Après la série de clashs que les deux propriétaires se sont échangés, l'homme d'affaires américain semble beaucoup plus ouvert :

« J’ai eu beaucoup de grosses discussions avec lui au sujet des droits télé. Je ne savais même pas qu’il m’avait appelé "le cow-boy". Oui, on peut faire la paix. Je n’ai rien de personnel contre lui. Je souhaite juste que tous les clubs soient en règle avec le droit européen. En ce sens, je ne me bats pas pour l’OL, mais pour la Ligue. Je n’ai pas de message personnel à lui adresser, il sait qu’il peut m’appeler à n’importe quel moment. Tout le monde doit suivre les mêmes règles à la Ligue. Et on ne peut pas non plus avoir le même vainqueur (en Ligue 1) vingt ans d’affilée, ce n’est pas possible, ça. »

« Tout est ridicule »

Des propos qui font écho à ceux de l’entourage de Nasser Al-Khelaïfi dans le journal L’Équipe ce dimanche :

« Il faudrait écouter un dirigeant qui veut pousser les clubs à sauter d'une falaise, sur la base d'une idée, mais pas d'un business-plan. Tout est ridicule : on demande à Nasser Al-Khelaïfi de se récuser dans le débat des droits TV, mais dans la crise, on lui demande ensuite de ne plus se récuser et d'aider... »

Articles liés