Victor Wembanyama est actuellement le favori incontestable pour le titre de Rookie de l’année en NBA. Après sa performance remarquable contre son principal concurrent Chet Holmgren, le joueur des San Antonio Spurs semble même avoir mis un terme au débat. Ce jeudi, après sa victoire face au Oklahoma City Thunder, il s’est prononcé sur la question.
Auteur de 28 points et d’une performance phénoménale lors de la victoire de San Antonio Spurs face au Oklahoma City Thunder (132-118) ce jeudi, Victor Wembanyama s’impose comme un choix évident pour le titre de Rookie de l’année. « Ce n’est pas terminé », estime cependant le Français.
Wembanyama : « Le titre de Rookie of the Year est très important pour moi »
« Le titre de Rookie of the Year est très important pour moi », a reconnu Victor Wembanyama en conférence de presse d’après-match. « Je suis convaincu que la meilleure façon d’aider mon équipe est d’être performant individuellement. Donc oui, les récompenses individuelles comme le titre de Rookie of the Year sont très importantes pour moi. »
Époustouflant, Wembanyama choque la NBA et fonce vers le ROY https://t.co/RBpyz9xNBg pic.twitter.com/NFsDvuECGC
— le10sport (@le10sport) March 1, 2024
« Non, ce n’est pas terminé »
Depuis janvier, le Français est le clair favori pour ce titre. Cependant, malgré son match exceptionnel contre Chet Holmgren, son principal concurrent, Wembanyama pense que la course n’est pas tout à fait finie. « Il reste encore 22 matches. Donc non, ce n’est pas terminé », a nuancé la star des Spurs. « Je ne me pose pas la question de savoir si cette course est terminée ou non. Je veux gagner les matches, il en reste 22, donc il faut continuer à performer. »
Devin Vassell : « J’ai l’impression que c’est fini »
La plupart des observateurs pensent probablement différemment, Victor Wembanyama se démarquant clairement des autres rookies en NBA cette année. Son coéquipier à San Antonio, Devin Vassell, pense également que le trophée est déjà virtuellement entre ses mains : « J’ai l’impression que c’est fini. Ce qu’il fait, l’impact qu’il a des deux côtés du terrain, la confiance qu’il a dans son jeu… C’est sans égal. Et je vois à quel point il travaille. Il est toujours à la salle. Quand je vais là-bas, il est là. »