Malgré l'échec de la Coupe du monde à domicile l'an passé, Fabien Galthié a été conforté à son poste de sélectionneur du XV de France. Une décision forte de la FFR qui n'avait pas manqué de susciter des interrogations à l'époque. De son côté, Emile Ntamack, le père de Romain, valide le choix de conserver Galthié.
Une semaine après avoir dominé le Japon, le XV de France retrouve son public ce samedi soir face à un tout autre adversaire. En effet, ce sont les All Blacks qui se dressent sur la route des coéquipiers d'Antoine Dupont cette fois-ci. Un adversaire qui fait moins peur aux Bleus qui les avaient d'ailleurs battu en ouverture du Mondial l'an dernier. Une compétition qui aurait pu coûter le poste de sélectionneur à Fabien Galthié, finalement maintenu par Florian Grill, pour le plus grand bonheur d'Emile Ntamack, dithyrambique à son sujet.
XV de France - All Blacks : Antoine Dupont a tout préparé ! https://t.co/OAHPKa67eh
— le10sport (@le10sport) November 16, 2024
«Il ne faut pas oublier les quatre merveilleuses années qui ont fait rêver les Français»
« Aujourd'hui, on a un groupe de qualités, des joueurs compétitifs qui rivalisent à tous les niveaux. Galthié ? Je sais que c'est un bosseur qui s'emploie. Il a toujours été comme ça. Il ne faut pas oublier les quatre merveilleuses années qui ont fait rêver les Français », a déclaré le père de Romain Ntamack sur les ondes de RMC dans Anaïs Matin ce samedi. Selon lui, le XV de France a toutes ses chances de faire chuter la Nouvelle-Zélande.
«On a progressé»
« Le match va forcément être très âpre, très dur, très équilibré, mais on a nos chances. Maintenant, on a peut-être moins de complexe. Dans le passé, on a su les battre, même si cela apparaissait de l'ordre de l'exploit. Ils sont moins effrayants forcément. La domination des All Blacks a fait ravage dans le passé, mais ça reste toujours une équipe mythique avec des joueurs de qualité hors norme. On a progressé, rattrapant petit à petit l'écart de niveau qu'il y avait », a poursuivi Emile Ntamack. Fabien Galthié n'y est pas étranger.