NBA : Dans le dur, le prochain Wembanyama déballe tout !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Numéro un de la dernière draft NBA, Zaccharie Risacher a succédé à Victor Wembanyama. Lui aussi considéré comme le phénomène du basket français, le joueur des Hawks d’Atlanta vit ses premiers mois au sein de l’élite américaine. Ce vendredi, le natif de Malaga s’est confié sur ses débuts parfois compliqués au sein de la Grande Ligue.

Il est considéré comme le prochain phénomène tout droit venue de l’hexagone. A 19 ans, Zaccharie Risacher a permis le 27 juin dernier à la France de rentrer un peu plus dans l’histoire de la NBA. Un an après l’arrivée fracassante de Victor Wembanyama au sein de la Grande Ligue, l’ailier né en 2005 était choisi en première position de la draft par les Hawks d’Atlanta.

« Au niveau du jeu, c’est plus mitigé »

S’il a signé des performances impressionnantes comme face aux Knicks le 7 novembre (33 pts, 7 rebonds, 3 passes, 3 interceptions), Zaccharie Risacher a également connu des prestations plus compliquées. Pour Basket USA, l’ancien de l’ASVEL s’est livré sur ses débuts en NBA. « Je suis assez content de la façon dont j’ai pris mes marques, de la façon dont j’ai réussi à faire ma place dans cette équipe. Au niveau du jeu, c’est plus mitigé. Je ne me trouve pas assez constant, surtout sur le tir. C’est une de mes forces et c’est frustrant de ne pas être aussi constant et adroit que j’ai l’habitude d’être ».

« Je vais continuer à travailler et je sais que c’est comme ça que ça va finir par tourner »

« Après je ne suis pas qu’un shooteur, et je suis plutôt satisfait de la façon dont j’arrive à m’exprimer dans d’autres aspects du jeu, malgré des pourcentages plus bas que je ne les voudrais. Cela dit, ma mentalité ne change pas. Je vais continuer à travailler et je sais que c’est comme ça que ça va finir par tourner. J’ai confiance dans le travail que je fais quotidiennement. Je suis frustré mais pas inquiet. D’ordre général, je suis vraiment content de ce début de saison, et ce ne sont que mes premiers pas dans la ligue », conclut Zaccharie Risacher.

Articles liés