F1 : Verstappen inarrêtable, une étonnante stratégie est dévoilée
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Ce dimanche, Max Verstappen est sorti victorieux du Grand Prix d’Autriche pour la 7ème fois de la saison. L’écurie autrichienne Red Bull poursuit ainsi sa magnifique série avec 9 courses remportées sur 9 disputées. La stratégie de course a d’ailleurs été parfaitement réalisée, de quoi satisfaire le directeur de l’écurie Christian Horner.

Cette saison, personne n’est en mesure de concurrencer Max Verstappen. Le champion néerlandais a obtenu sa 42ème victoire en carrière lors du GP d'Autriche. Auteur d’un week-end parfait avec le meilleur tour en course ainsi que la victoire samedi lors du Sprint, le Néerlandais n’en finit pas d’impressionner.

«Nous avons décidé de faire le meilleur tour dans le dernier tour»

Dans des propos relayés par Motorsport.com, Christian Horner est revenu sur ce week-end particulier pour Red Bull. « C'était la première fois que nous revenions ici (sur le Red Bull Ring) depuis le décès de Dietrich, c'était donc très émouvant que l'équipe ait réalisé une belle performance. Nous avons décidé de faire le meilleur tour dans le dernier tour, malgré le risque que représente un arrêt au stand raté. J'avais (l'absence de Mateschitz) en tête et son mantra n’était toujours « pas de risque, pas de plaisir ». Les mécaniciens ont été en si grande forme que cela m'a semblé peu risqué », déclare ainsi le directeur technique de l’écurie autrichienne.

«Max nous a clairement fait comprendre que les pneus étaient morts»

Concernant la stratégie adoptée sur les rentrées aux stands de Max Verstappen, Christian Horner affirme que son champion était très concentré. « Max nous a clairement fait comprendre que les pneus étaient morts, et il était très concentré. C'est alors que l'on a commencé à évaluer les risques. Allions-nous prendre le risque avec un train de pneus de mauvaise qualité ? Ou était-ce moins risqué de s'arrêter au stand et de chausser un train de pneus tendres ? Finalement, nous nous sommes dit « prenons le risque ». Et il avait encore trois secondes d'avance sur Charles lorsqu'il est sorti des stands ».

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